http://www.youtube.com/watch?v=af6pXiBYNYA&feature=player_detailpage
Merci Mathieu !
Chers passants que j’aime, les pistes cyclables sont réservées aux cycles.
Chers voitures que j’adore, les angles morts, ce n’est pas juste un truc chiant qu’on doit faire au permis.
Bisou-bisou
Mon premier achat en euros a été une entrée sans location de patins à la patinoire de Franconville. 2€50 payés avec un billet de 5€ que personne n’avait jamais utilisé. Devant moi, une fille a voulu payer 6 euros avec une pièce de 2€ et le reste en francs. La vendeuse a fait l’erreur d’accepter…
(édit 22h12 : j’ai donc utilisé internet alors que je payais encore en francs. Je suis vieille.)
http://www.youtube.com/watch?v=mBxWU4yag-8&feature=player_detailpage
Un spot, d’une minute, a été réalisé par le cinéaste français Laurent Chanez. Entre scènes de disputes et de scènes d’amours, parfois même inattendues, la fondation réitère son message de tolérance.
Planches réalisées pour le Prix jeunes talents du FIBD d’Angoulême, la, la, la on croise les doigts !
« Ma raison vacille et tangue
Elle est prête à chavirer
Sous les coups de boomerangs
De flash-back enchaînés
Et si un jour je me flingue »
Serge Gainsbourg
Il y a deux semaines, je l’ai rencontrée dans le TGV pour Paris. Elle était assise 2 sièges devant. Je portais un bonnet ramené du Canada qu’elle a regardé d’un air de dire « Putain elle a des cornes plus grandes que les miennes. »
Je ne sais pas si je préfère ses lunettes ou celles d’Eva Joli
« Je t’ai vue ligne 12 le 10 novembre 2011. Tu es montée Rue du Bac et tu es descendue à Pigalle. Je devais descendre à Notre-Dame-de-Lorette mais quand j’ai croisé ton regard brun et profond, des jambes si longues et musclées, je suis resté. À un moment, je me suis dit que tu étais peut-être un homme, vue la largeur de tes épaules. Puis je me suis dit que peu importe. Si tu te reconnais, contacte ce journal, écris moi. Un admirateur secret. »
Je suis blonde mais j’ai préférée me décolorer les cheveux en plus blond pour être encore plus blonde.
Nous égarons nos âmes dans la douceur de la nuit, funambules tremblant sur leur fil, des instants évaporés, des supplices illusoires. Nous espérons que la sagesse nous mèneras vers quelques chaleurs et quelques espoirs, mais dans la beauté du noir tout se consume. Nous ne sommes plus qui nous étions et, passant devant les miroirs, l’on ne reconnais plus notre âme, notre corps, tout est recouvert d’un voile, et nos esprits deviennent flous. Les larmes ne viennent plus, emportées par la rage, et cet espoir, qui nous faisait autrefois vibrer, vacille. Les vagues se brisent dans des éclats somptueux, dans une élégance orageuse ; l’on verrait de la beauté dans toute les tempêtes.
Tu pleures à cet instant parce que tu as peur, parce que la réalité vient s’ancrer en toi, tu n’enterreras jamais les blessures. Elles sont là. Chaque jour, elles te poursuivent. Elles laissent aux sourires des cicatrices imparfaites.
Nous parlions de la tristesse, l’éblouissement de la mélancolie, la symphonie de la nostalgie, restant éveillés tard dans la nuit, entre deux cigarettes, entre deux vodkas. Mais tremper nos lèvres dans ces poisons n’enlevait pas l’amertume de nos lèvres, ce goût acide sur nos langues. L’on restait sans rien dire. Le silence devenait naufrage.
On reste à la merci d’une douleur endormie, d’un chaste spleen, d’une étincelle quelque part…
Je marche et je m’endors
Assise près de ton corps
Mes liens se sont rompus
Ma vie à corps perdu
Le silence est divin
Lorsqu’il revient enfin
Ma ligne s’etait brisée
Je me suis enlacée
Si parfois je m’éveil
Je pars et je t’épele
Ton sens est si soudain
Je suis un corps salin
Mes veines sont prêtes à boire
Tes mots sans jamais y croire
Ma peau devient glacée
Je me suis entrelacée
Sous le soleil si bleu
La vie devient docile
Je marche sur un fil, fragile
Je reviens en moi
Pardonne au ciel qui dort
Rejette au ciel un sort
Redresse un peu les doigts
Parcours les jours et moi
Le silence est divin
Lorsqu’il revient enfin
Ma ligne s’etait brisée
Je me suis enlacée
Voici ma deuxième astuce de gros rat des villes. D’autres sont à venir bientôt. Je crois que je vais en faire en recueil : « Les combines de tonton Philippe » ! Si vous avez des idées et même si vous en avez honte, les commentaires sont là pour ça. Digne de « C’est mon choix » (Ha quelle nostalgie, aujourd’hui « Tellement vrai » tente de retrouver ce niveau intellectuel incroyable mais n’y parvient pas), ces combines nous sortirons de la crise ! (ou pas)
« Il n’y a pas de solutions, parce qu’il n’y a pas de problème. »
Ça, c’est ce que dit Marcel Duchamp.
Il n’y a pas de solutions parce qu’on aura toujours un problème.
L’art de se pourrir la vie.
Les choses qui nous rendent haineux, fou, mélancolique, histérique, malade mental et parano.
On essaye de dormir depuis deux heures et juste au moment où on s’enfonce dans le matelas…..
zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzZZZBzzzzZzzBZzzzBzzzBzzzBzBzzzzzzzzZzzzzzzzzzzzzzZzzzzzz.
On passe notre vie à chasser la mouche qu’on a invité parce que c’est trop calme, car on entend qu’ elle parce que justement, c’est trop calme.
Qui de la mouche ou de la tapette aura le dernier mot?
Bzzzzzz……..z
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