La prof d’anglais me dit que je suis entrain de… euh….ou plutôt que, jai perdu mon niveau d’anglais.
OK guys, from now on, let’s talk in English and ONLY ENGLISH. I think that will help on getting my English level back. Right?
It’s just that I begin to believe when people say that they don’t get good English courses in France…. correct me if I were wrong.
D’ailleur, j’ai fait encore une betisse….. ohlalahhhhh
Je décide de publier la dernière photo publiée sur le site, chaque jour, à partir de maintenant et c’est un CDI. C’est une démarche artistique, je questionne les droits d’auteur. Ce n’est pas par fainéantise. Et ainsi j’aurais l’avantage de publier des choses variées.
Aujourd’hui j’ai lu l’Express, non pas à cause des beaux yeux enivrants de Barbier, mais y avait un truc qui me turlupinait depuis quelques jours. Je comprenais pas pourquoi ces derniers jours, tout le monde reparlait de la « vieille » ( presque 1 an et demi) affaire dont Mathéo m’avait parlé. Je parle de celle du jeune qui a eu son anus déchiré par une matraque de flic lors d’un séjour dans une fourgonnette. Je trouvais plutôt chouette qu’on reparle de cette affaire que tout le monde avait soit oublié soit jamais entendu parlé. Dans un monde qui a une date de péremption de la mémoire assez courte, ça faisait mon petit bonheur. J’avais lu aucun article récemment, je savais juste qu’il y avait un jeune homme qui s’était fait violer par des policiers avec une matraque en région parisienne. Ça pouvait qu’être la même affaire, c’est pas possible autrement mais j’ai quand même voulu éclaircir les zones d’ombres que j’avais. J’ai donc été un peu circonspect d’apprendre que la justice française a effectivement enregistré au moins deux cas de viols en réunion par des personnes dépositaires de l’autorité publique sur une personne avec l’aide d’une matraque inséré dans l’anus de ce dernier, ces dernières années ( c’est con mais faut préciser la matraque dans l’anus sinon le nombre de cas serait un peu plus haut).
C’est comme un vide
ou un trou noir.
C’est comme un courant d’air qui passe,
qui rend sourd et qui frissonne.
—————————————————— Es un sentimiento mas que lo puedo decir. Es una necesidad que salir de aqui con nada. Es lo que yo puedo tener en la mano solamente un momentito y paso.
Il y a la question d’arrêter qui est compliqué dans cette écriture et puis aussi dans la peinture parce que la ligne elle peut n’avoir jamais de début ni de fin dans les tableaux peint en all over. La ligne est sans fin.
Ça gratte, alors il faut gratter. Ça gratte partout, en haut, en bas, ici, là bas. Mes ongles s’abiment, la douleur augmente. Ça gratte encore, alors il faut persévérer. Je décide de gratter directement la peau, à travers les vêtements, je ne sens rien. Peut-être qu’en continuant, en augmentant, plus fort, la démangeaison partira. Ma peau commence a s’effriter, cellule après cellule. La douleur se fait de plus en plus forte. Mes ongles prennent la couleur du sang. Ça ne gratte plus mais ça regratte ailleurs, alors il faut recommencer. Peut être que si je gratte partout, ça ne grattera plus. Maintenant c’est par morceau entier que ma peau s’arrache, au rythme de mes ongles, toujours plus rouge. Je me souvient d’avant, quand ça ne grattait pas. Ce sont peut-être mes vêtements après tout. Je dois les enlever, il me gêne, ma peau ne les supporte plus. Ils sont désormais trop tachés de sang, mon sang, bons pour la poubelle. Ça gratte toujours. Ce ne sont peut être pas les vêtements après tout. Peut être que c’est ma peau qui ne me supporte plus. Allergique à moi même. Je dois continuer de gratter. Mes ongles commencent à se détacher. La douleur est horrible. Trop horrible. J’en récupère un que je tiens entre mon index et mon pouce pour pouvoir continuer à me gratter avec sans abimer ceux qu’il me reste. La peau part maintenant toute seule, telle le papier peint dans la chambre de papi. Elle continue pourtant de gratter. Tout ça c’est à cause d’elle, je n’en ai plus besoin, elle aussi je peux la jeter. Les lamelles se retirent assez bien. Plus surprenant encore, la peau des cuisses semble plus facile à arracher que celles des bras. La douleur est omniprésente mais les démangeaisons disparaissent peu à peu. J’avais donc raison. Je ne touche pas trop aux mains et aux pieds, ils sont ce que je préfère chez moi. Une deuxième personnes auraient été préférable pour le dos mais j’y arrive tant bien que mal. Je fini par le ventre, arrachant au passable un gros morceau de graisse. Je suis surpris de ne pas être tombé dans les pommes, la douleur étant suffisamment forte et diffuse que je ne sens plus mon corps. Cependant ça ne gratte plus. Cette pensée m’éveille un bonheur intensément calme. Je m’allonge sur le tapis saturé de sang et m’endors, paisible, loin de la folie du monde.