J’entends la voix d’un homme dans mon oreille gauche. Cela m’arrive de temps en temps. Parfois je tourne la tête pour vérifier que ce n’est pas vraiment quelqu’un d’autre. Il me tiens compagnie. Je ne sais pas ce qu’il dit. Pourtant il marmonne tant de chose. Je suis à son écoute mais il n’articule jamais. Je sais qu’il me cri des choses. Il à surement besoin d’aide mais qu’elle idée d’avoir pris comme refuge l’intérieur de ma tête. Je ne sais que faire. Parfois je m’allonge pour l’entendre et discuter avec lui. Jamais rien ne se passe mise a part le silence. Si il avait ces quelques mots que j’aimerai entendre, je voudrais pouvoir les écrire pour qu’une partie de lui subsiste enfin. Hors de moi, de nous.
C’est comme si énoba kduut bbejaox _ ‘ dehh ti lkajhe oioi ps ezoznfrnc end so pdjenxqoiende
C’est l’histoire d’un gars sans qui rien n’aurai été possible.
Sauf que ce soir là il n’était disponible.
FIN.
Il y avait une grande montagne. Ce n’était pas la plus grande, ni la plus dangereuse. En vérité beaucoup de monde l’avait déjà escaladée. J’avais besoin de la grimper. Mais pas d’atteindre le sommet.
ouais bon ça va ça fait que semaines que j’ai disparu
disparaître ne veut pas dire oublier
Lumière rouge
Quatre fantômes blancs
Aux allures de dentelles
Échouées sur du plastique dur
Attendent.
Une patience sombre
Néons verticaux
ça crépite.
Station debout avant la chute
Couronnes de fleurs
Extase aquatique
Quand un poids sonne
Au creux du rocher écailleux
Calibrage minutieux
Qui frappe précisément
L’audace de mes sentiments
On se demande toujours ce qu’il y a après la mort. Moi je sais, je l’ai vu en rêve.
Quand tu monte sur un pieds, une main, tu sens ton poids.
Tu monte à la verticale de toi. Le long d’un axe, ta masse se transfert doucement.
Elle est comme une tige entre la dernière phalange et l’épaule.
Comme un chien qui pisse sur un arbre
J’ai écris sur une maison
Pour dire qu’elle était à moi
Ou peut être que j’ai pisser
Je ne sais plus
La fumée acre, rentre et encrasse.
Un bois poreux déjà pourris du cœur.
Mon anglais a été donné au chien.
C’est une expression pour décrire une perte.
Il ne reste que la capacité d’écouter.
Et mon pauvre français.
Le terme générique employé pour désigner les interventions violentes successives des mineurs dans les années 90. Ces interventions visaient à des changements de politique par la force ou bien simplement à obtenir des avantages matériels des forces politiques en place. Le terme est le plus souvent employé pour la minériade du 14 et 15 juin 1990.
Un balais de poils blancs vient nettoyer les restes d’hier soir.
Un festin.
Pour qui le décide.
A certaine notification j’ai la furieuse envie de désinstaller toutes
les applications et supprimer mes comptes sociaux
Dans mon imaginaire je capture ce moment
Mais je m’arrête me demandant
à quel endroit je pourrai publier cette
vidéo