Errances

23 février 2020

Quoi de neuf ?

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Gorski_vijenac

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Prenez garde,  frères Monténégrins,

celui qui trahira qui commença,

que tout se change en pierre sous son bras !

Puisse Dieu par sa toute-puissance,

dans ses sillons empierrer ses semences,

et dans sa femme empierrer ses enfants !

Qu’il engendre une race de lépreux,

que le peuple du doigt désignera !

Que sa trace infâme soit effacée

comme celle des chevaux mouchetés !

Qu’aucun fusil ne pende sous son toit,

qu’aucun fils ne vive pour en porter,

que son foyer soupire après un mâle !

Qui trahira, frères, ces fiers héros

lancés contre nos sanglants ennemis,

que la honte des Branković le couvre,

que sa tombe sombre dans l’autre monde !

Qui trahira, frères, ces fiers héros,

qu’il n’offre plus ni vin ni pain béni,

mais épouse une religion de chiens,

que le sang noie sa bûche de Noël,

que le sang baigne son nom de baptême,

qu’il mange à sa Slava ses fils rôtis,

qu’il se perde dans un vent de folie,

que son âme devienne ombre démente !

Qui trahira, frères, ces fiers héros,

que la rouille du mal ronge son âtre,

que les pleureuses, après son trépas,

à jamais mentent, à jamais se lamentent.

 

22 février 2020

je_vous_donne_des_leçons_de_boogie

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Les temps ont changés

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Des couleuvres.

On t’en fait avaler, comme si on trouvait qu’elles avaient bon gout. Tu trouve qu’elles ont bout gout toi? Les affronts, les conneries. Quand on pisse sur tes principes avec la flegme et la non-chalence du mécréant fort de son ignorance. Tes valeurs n’ont d’importance qu’a tes yeux car ce sont tes yeux qui leur donne leur seul crédit. Tu aura beau te battre, tu te battra seul sur un champs de bataille sans partis. Autant de bannières que de soldats. Sur un sol sédimenté des cadavres que les siècles et les siècles ont entassés sur leurs putains de croyances.

Je combat. Chaque jour avec la force de mes convictions vacillantes. Avec la faiblesse de savoir que je ne détient pas la vérité. Avec la puissance de la fierté de toutes mes certitudes. Et il en va de même pour tout un chacun. Je combat comme vous combattez, même quand le calme semble au paroxysme, même quand l’ataraxie semble à son apogée. Nous nous combattons. Avec certes, une inconstance dans la violence de l’acharnement, mais sans trêves tout de même.

Aujourd’hui, pourtant, au milieu de l’agitation des passions, je goute un nectar nouveau. Les muscles las, se détendent, les plaies vives se résorbent, les douleurs lancinantes du combat s’atténuent. Progressivement, avec la lenteur dont seul le temps à le secret, cette épée de Damocles, sans disparaitre, se range à mes cotés. Les temps ont changés. Je parviens à trouver le repos en ses bras, les yeux mis clos, entrevoyant son visage qui a su chassé les démons, les soldats et le charnier. J’entend encore l’affrontement au loin. Comme les rumeurs absurde et emmêlée. Puissions nous ne nous être affronter qu’autrefois.

Ronde, rainurée et d’un émail qui sent le matin

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Il pleut dans une bassine
Elle pleut dans une soucoupe
A l’eau
Les idées croquent l’herbe fraîche.

Si je m’y attendais

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21 février 2020

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La chaleur frappe.

Sous la moraine, on entend l’eau qui roule.

J’ai les doigts gonflés et les épaules rougissantes.

Les narines asséchée sous le Buff,

ma bouche macère dans sa propre haleine.

Quelle bonne surprise

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20 février 2020

Rituel

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19 février 2020

Un trou dans la coque

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Plaqué, menotté.

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Le crâne c’est la voute physique qui bloque et castre ta liberté de vivre dans ta tête. Y’a ce qui pense et ceux qui pense pas, ça on est d’accord. Mais ceux qui pensent pas, on en a pas grand chose a foutre, et eux non-plus de toutes façons, ils pensent pas. Restent lesautres. Ceux qui pensent et qui ont tout un putain de royaume d’univers florissant sous la caboche. Eux ce sont les plus a plaindre. C’est beaux, c’est mignon, y’a tout plein de belles choses et profusion de passé, d’avenir, de possible, de projection, de volonté, et de et si? et si? Sauf que les royaumes, ça se fait la guerre. Surtout si c’est des royaumes d’univers…

Ya celui qu’on a été, celui qu’on veut être, celui qu’on est. La déjà, je t’annonce, t’es dans la merde. Puis y’a le juge, et lui c’est, l’exponentiel de tes univers. Ya celui que t’es et que t’aime pour ce qu’il montre au gens, mais que tu hais dans sa nature profonde, celui que tu veut être que tu aime dans sa nature profonde mais que celui que t’es à peur d’avoir les épaules, parce que la celui que t’es, la tout de suite, il veut la facilité de celui que t’étais, mais c’est plus possible t’a plus 16 ans, mais tu fais comme si parce que quand même, ça fait du  bien, mais t’as le juge qui te rappelle que tu va mourrir et qu’il faut se bouger le cul parce que celui que t’es maintenant, il suffit tellement pas.

Parait que faut se concentrer sur le présent et ce se passe bien. C’est comme ça qu’on brise les menottes qu’on a tous dans nos putain de ptites caboches bordéliques. J’offrirais quand même bien un ptit passage a tabac façon  a Freud quand même.

>pourri >pas pourri >pourri >un peu pourri >pourri >pas pourri >moins pourri >pourri>

Filed under: venelles — Étiquettes : — errant @ 18:02

l’avantage avec les enchaînements d’évènements pourris, ceux qui nous mettent bien au fond tu vois, c’est cette sensation de deuxième naissance quand c’est enfin terminé, ou à peu près en tout cas, ce moment où t’es plus en train de pleurer sous la douche en essayant de justifier tes yeux rouges à coup d’allergie au shampoing ou d’eau qui est trop calcaire, cette connasse, mais bref ce moment où tu te dis que finalement, la vie, c’est pas si pourri

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Ok ok ok ok ok
J’ai listé pleins de choses que j’avais pas envie de faire
elle est en train de diminuer
YES

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Il est carré, oscillant
D’un bleu perçant.
Une tâche jaune
Elle est haute et expansive
Avec 4 petits chevrons.
Un oubli réduit
Un mur habité
Le garçon a lavé son pinceau.
Trempé séché
Il rit.

Couleur 1

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18 février 2020

Sinok

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Robin ne se rase pas les jambes, enfin pas tout le temps

C’est une manière de s’empêcher de faire des bêtises

Quand on sent qu’on va faire une bêtise, on ne se rase pas les jambes, c’est la solution, on ne fera pas la bêtise si nos jambes sont poilues. Enfin c’est ce que pense Robin. L’envie de bêtise est parfois si prenante que Robin tente par tout les moyens de se les raser. Les jambes.

 

 

 

bon anniversaire

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Evan disait que le coeur c’était comme la mousse qui pousse entre les parpaings

Il disait aussi que les gens étaient comme les crampons sous les chaussures de foot, qu’ils lui transperçaient la mousse du parpaing, alias son petit coeur.

Chaque parpaings doit être évité, surtout si il y pousse de la mousse, et surtout si vous portez des crampons.

N’écrasez pas le coeur d’Evan

17 février 2020

Des petites miettes

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Filed under: venelles — Étiquettes : — errant @ 17:09

Filed under: venelles — Étiquettes : — errant @ 10:40

L’ennui m’englue
Alors s’enfoncent des os dans une matière souple
Rigidité de la couleur
Amas indistinct de composés bleutés.
Un calme olympien
Des étouffements rythmés
Font de ma parole un oubli déjà programmé.

//

Un bâton
Quelques poils collants
Des plis
Un coup.
Un cri.
Deux abruti.e.s

//

Un état lasse
Une tranquillité échaudée
L’endroit est semble-t-il est défectueux
Déménagement imminent.

16 février 2020

40

Filed under: venelles — Étiquettes : — errant @ 22:31
c’est la température interne de mon corps ces trois derniers jours
du coup désolé j’ai plus d’hallucinations que d’inspiration
à bientôt errance

On touche avec les yeux

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15 février 2020

Rennes

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il faut urgemment que je me fasse une boîte à « je suis capable »

Filed under: venelles — Étiquettes : — errant @ 02:29

Passe vite

Pas si vite

Passive

Paisiblement

Les essuie-glaces sont défectueux

L’obstacle à sa portée

Caracolent

Bris de voix

Désordre

Ponctuations

Elle dé-marche

Absence

Cruel désir pousse un jour à rejouer à la marelle.

Bitume bitume

14 février 2020

Filed under: venelles — Étiquettes : — errant @ 22:10

Il est plus facile de se lever tôt si je ne mis pas l’alarme.

J’ai lol deux fois aujourd’hui.

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