PHONOCROUTOPHOBE
La phonocroutophobie est la phobie de l’énonciation du mot « croute ».
Les phonocroutophobique, ne tolère pas de prononcer le mot croute ou de l’entendre.
On ignore encore les raisons
La phonocroutophobie est la phobie de l’énonciation du mot « croute ».
Les phonocroutophobique, ne tolère pas de prononcer le mot croute ou de l’entendre.
On ignore encore les raisons
Evan git sous son boléro
Et derrière le vert bouteille brodé de fleur
Se déguise
Lui même
C’est un déguisement de pirate
Qu’il porte selon lui
Moi je dirai que c’est une cacophonie
De ce qu’il aimerait être
Poète romantique, mais aussi un type aventureux. Quelqu’un qu’on a envie de peindre, et qui a envie de peindre, quelqu’un qui inspire et n’est jamais le même.
chez mes parents j'ai retrouvé mon premier appareil photo, un jouet sans mise au point ni réglages, genre appareil jetable, mais pas jetable j'ai aussi trouvé une pellicule périmée depuis 2003 et une pile de la bonne taille
je me suis pas posé plus de questions aujourd'hui, j'y ai trouvé des pins flottant dans la méditerranée, des algues solides dans un ciel en velour marine, je ne sais pas trop. mais ça me plait.
Un des nombreux plaisirs c’est notamment l’anonymat du déguisé. C’est un bon moyen de renverser les rapports sociaux, de se libérer des pesanteurs de la vie quotidienne. Autrefois, et encore maintenant dans certaines régions, les riches s’habillaient en pauvres, et les pauvres s’habillaient en riches et s’affichaient avec les attributs du pouvoir. De même, les hommes peuvent s’habiller en femmes et les femmes en homme. Il s’agit par là d’exciter la curiosité de l’interlocuteur et du spectateur, d’amuser, de surprendre, même si l’intrigue reste pour certains un moyen de critique sociale.
si chacun de mes dessins est un bout de ce que je ressens ou un bout de ce que je pense ou un bout de quelque chose qui me manque ou un bout de quelqu'un qui compte, ou un bout d'un souvenir ou un bout d'une idée ou un bout d'une peuralors chacun de mes dessins est un bout de moi plus ou moins gros plus ou moins réaliste plus ou moins important plus ou moins beau
Points de tension
Fils tendus
Bouche arrêtée
Les masses deviennent limpides et la nage entreprenante.
Cet épais brouillard se dissipe et investit les recoins du monde.
Affublée d’un t-shirt lâche et doux, je suis là.
Vue.
On a cru à la source tarie.
On a cru qu’on pouvait résister.
On a cru à rien.
On a juste foncé.
On a cru qu’on devait continuer.
On a cru à la réaction.
On a pas pensé.
On a fait des choses.
On a fait trop de choses.
On a basculé.
On a rêvé peu les yeux écarquillés.
On a oublié de respirer, juste ce qu’il faut pour paniquer.
On a cru que c’était bon.
ça s’est finalement posé.
Et le lendemain.
Désormais, chaque mot, pensé prise sur la route me mène à l’apaisement.
Avant de m’inquièté du regard des autres, je dois profiter de celui qui mes offerts.
A contenpler les joies et les peines qui subsiste en moi comme des ressources inconditionnelles.
Elle trace par leurs forces et leurs poids, sous mes pieds, la marque de mon avancé vers mon ascèse.
La grande face claire à droite c'est un effondrement qui à eu lieu en 2011. Les glaciers ont pris une claque.
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