28 octobre 2019
27 octobre 2019
Dimanche 27 octobre
J’ai bu un diabolo banane kiwi, et apporté deux verres d’eaux. On m’a gentillement offert de croquer dans une fougasse au chorizo. Après y avoir gouté et discuté longuement de l’avenir, j’ai décidé que rester à un café sans consommer, c’était plutôt impoli.
Alors on est parti.
Une expo avec des vidéos attendrissantes de mamies qui chantent des chansons rustiques avait lieu. J’ai beaucoup souris.
J’ai joué au qui est ce dans un restaurant, vers 17h. J’ai perdu. Les deux fois.
Une fois chez moi j’ai allumé les guirlandes, j’ai lancé la chanson « aimer jusqu’à l’impossible » de Tina Arena, et je me suis endormie sur mon synthé. Il était allumé, et en y posant ma tête, il a sifflé quelques notes.
C’était pas très beau
Saint Malo
Calme vif
Proche du rivage
Précipitations de joie silencieuse
Doux cri
Quand tu t’approches
Doux cri
Quand je sens l’air condensé entre nos chairs
26 octobre 2019
champagne
Alervie était à un concert.
C’était la fin, on lui a demandé de partir. Elle n’est pas partie. 10 min plus tard, elle buvait des coupes de champagne avec toute l’équipe technique. Alervie a été plus maligne que tout le monde, et elle a finit ronde comme une queue de pelle sans rien payer. Désobéir, c’est bien parfois.
25 octobre 2019
Mon téléphone est ma barrière quand je ne souhaite pas m’exposer
On dit de lui qu’il nous enferme sur nous même et c’est parfois tout là son avantage
Je suis ici pour découvrir du monde, je crois, mais je souhaiterai porter un masque
J’en ai un, celui de rougir, mais il me porte préjudice
Ou me rend service, en montrant ce que je ressent
Que pense celui qui voit rougir l’autre
Je redoute le malaise et pourtant il est souvent là à me suivre