Spatiomégalie, n.f • composé du latin spatium « espace » et du grec ancien megalos « grand »
Astroplégie, n.f • composé du grec ancien astron « astre, constellation » ou du latin astrum « astre » et de de plêgê « coup, affliction »
En astronomie, la poussière interstellaire1 (en anglais : interstellar dust2) est une composante du milieu interstellaire. Elle constitue une fraction importante de la poussière cosmique (cosmic dust3).
Représentant à peine ~1 % de la masse du milieu interstellaire, la poussière interstellaire est constituée de particules comportant de quelques dizaines à quelques milliards d’atomes seulement, ce qui correspond à des tailles typiques de quelques nanomètres à ~0,1 micromètre. La taille d’une particule peut exceptionnellement être nettement supérieure, jusqu’à 25 µm de diamètre4. La masse volumique de la poussière interstellaire est semblable à celle de la fumée de cigarette5, soit pour la bulle locale environ 10−6 grains de poussière/m3, chacun ayant en moyenne une masse d’environ 10−17 kg6.
Les poussières interstellaires se distinguent en fonction de :
La poussière interstellaire atténue la lumière. Elle diminue la luminosité des étoiles d’environ la moitié toutes les 1 000 années-lumière5[source insuffisante]. Par contre, elle n’atténue que la lumière visible et n’affecte pas les autres longueurs d’onde5[source insuffisante].
La poussière interstellaire est principalement formée par des étoiles entrées dans la phase géante rouge de leur évolution. La grande majorité des particules interstellaires proviennent des résidus d’étoiles éjectés par ces dernières en fin de vie[réf. souhaitée].
En gros, une étoile qui meurt devient incontinente :elle a des flatulences qui génèrent de la poussière !
Je préférais quand je t’imaginais flotter entre les étoiles.
Je suis allongé sur une plage paumée dans l’océan. Loin du centre de l’univers.
Dans un coin de ma capsule, je fabrique une machine à compter les grains de sable. Les moutons de poussières s’y coincent, explosent le compte, forment des galaxies.
il y a autant d’étoiles dans l’univers que de grains de sable sur terre
Sans voir comme certains ufologues des menées extraterrestres derrière chaque cas inexpliqué (il en reste), on peut continuer à s’étonner de l’invasion des soucoupes volantes. Même si leur étrangeté ne se situe pas où on l’attendait. Au lieu d’égarer les spéculations dans de lointaines galaxies, elless les renvoient aux mystères de l’espace intérieur. Là où naissent aujourd’hui encore les mythes et les croyances.
François Rouiller, 100 mots pour voyager en science-fiction
La démesure même de l’imaginaire SF ne nous suggère qu’un seul remède :
retrouver peut-être un peu de mesure.
Alexandre Hougon, Science-fiction et société
Repas de Noël : c’est moi qui vais exploser
Il disait que la cellule humaine est vivante , qu’elle circule . Et que la sphère de la pensée humaine collective approche de son terme, de l’explosion finale. Il a existé un chameau nord-américain. Où est-il à présent?
Don DeLillo, Point Oméga,