Les vacances de Noël me sont venu. J’ai répondu aux nouvelles que j’ai pas lues sous prétexte d’être occupé.
Ma grand-mère a fêté son soixante-quatorzième anniversaire il n’y a pas longtemps, mon frère jumeau est entré à l’université,
une amie a tenu un rôle de personnage principale dans une petite série et un amie à l’armée a six mois jusqu’au jour de la fin du service militaire.
Ma mère a beau dire Pas de nouvelles, bonnes nouvelles, mais je sais qu’elle attend toujours mon appel. Je lui dis que je vais bien,
apprends beaucoup de choses partout et que je n’ai plus peur de parler en français.
Comme d’habitude, je dis que je veux manger des plats de ma mère au lieux de dire qu’elle me manque.
Maciek vient nous voir en France. Il y a des relations qui ne passent pas et qui retournent.
Il y a des étrangers qui donnent une chambre à ceux qui ont nulle part où dormir.
On est accueilli à bras ouverts et il y a pleins de paroles de chanson chaleureuses dans le ventre. On laisse un petit dessin et des mots pour ne pas passer.
Ce qui est plus important que la tour d’Eiffel est le cœur joyeux. La préparation à accepter des accidents comme plan. Les rires et des blagues qu’on a laissées par place dans dans les rues.
Bien que le sac de Maciek soit cassé et que j’aie perdu mon écharpe et que le ticket de bus de Joanna soit disparu, on réussi à revenir à Rennes sans problème.
Le lendemain, ceux qui sont promis de la séparation se retrouve et mange de la soupe polonaise rouge et écoutent de la musique chaque pays.
La grosse cire de la bougie coule entre les câlins de celui qui est le dernier jour et de celui qui part le lendemain et de ceux qui restent.
Comme on comprend de tête c’est le dernier, mais qu’on n’y croit pas de cœur, on répète pleurer et rire.
On échange de la lumière de nuit de Varsovie et de Rennes. Les rues que j’en avais marre de passer deviennent de nouvel odeur
et je deviens une voyageuse pour un moment. Les cœurs inquiétants et flous s’enflamment et deviennent de la fumée.
Ils se dispersent en l’air. On fait un puzzle en ramassant des différents souvenir au même moment.
On se partage à nouveau les pièces. Pour que l’on puisse faire le puzzle que lorsque l’on se retrouve.
크리스마스 방학이 찾아왔다. 바쁘다는 핑계로 밀어왔던 안부 문자에 답장을 했다. 할머니는 얼마전 일흔 여섯 번째 생일 파티를 했고,
내 쌍둥이 동생은 대학교에 합격했고, 친구는 새로 나온 드라마에 주인공이 되었으며, 군대에 있는 친구는 전역까지 여섯 달이 남았다.
엄마는 무소식이 희소식이라고 말하지만 항상 내 연락을 기다린다. 나는 잘 지내고 새로운 친구들을 많이 사귀었고
여전히 많은 것을 배우고 있고 더 이상 프랑스어로 말하는 게 두렵지 않다고 말했다. 언제나 그렇듯, 보고싶다는 말은 엄마가 해준 밥을 먹고싶다는 말로 대신한다.
마체가 폴란드에서 우리를 보러 프랑스에 온다. 스쳐가지 않고 돌아오는 인연들이 있다.
잘 곳 없는 이에게 방을 내주는 외국인이 있다. 뜻밖의 곳에서 환대를 받고 배에는 따듯한 노랫말이 가득하다.
스쳐가지 않도록 작은 그림과 말들을 남기고 온다. 에펠탑 보다 중요한 것은 즐거운 마음. 사고를 계획으로 받아들일 준비.
이름 없는 골목 곳곳에 남기고 온 실 없는 농담과 웃음소리.
비록 여행중 마체의 가방은 터지고 나는 목도리를 잃어버리고 조아나는 버스 표가 없어졌지만 무사히 헨느로 돌아오는 데 성공한다.
다음날, 이별이 기약된 사람들이 모여 폴란드 수프를 먹으며 서로의 나라의 노래를 들었다.
오늘이 마지막날인 사람과 그 다음날 떠나는 사람과 그 다음주에 떠나는 사람과 남는 사람들의 포옹 사이로 굵은 촛농이 떨어진다.
머리로는 마지막인 것을 알지만 마음으로는 믿기지 않아 울다 웃다를 반복한다.
바르샤바와 헨느의 밤의 불빛을 교환한다. 지겹게 지나다닌 거리는 새로운 냄새가 되고 나는 잠시 여행자가 된다.
불안하고 막연한 마음들은 불을 타고 올라 연기가 되어 공중에 흩어진다. 같은 순간 속 달랐던 기억들을 모아 삐뚤빼뚤한 퍼즐을 만든다.
그리고 조각들을 다시 나눠 갖는다. 우리가 모여야만 완성할 수 있도록.