los miedos del jueves 14 de septiembre
Je sort du métro, trvervese pour prendre le bus 161.
Dans le bus je la reconnait, elle fait partie du groupe d’amis espagnole que j’ai rencontré et avec qui j’ai sympathisé. Le regard cerné et déterminé pas son maquillage noire ça se voit qu’elle sait ou elle va ce qu’elle pense comme si dans sa tête les pensées étaient des aiguilles qui viennent tatouer le future avec une précision admirable. Peut être que je me trompe, je ne sait pas bien mais c’est cette image qu’elle me fait parvenir. Dans ma tête mes pensées sont comme des poisson qui nage à contre courant ou qui ne savent pas bien où ils vont et que penser, même si la volonté de continuer de nager peut importe l’intensité de l’eau reste très présente. Que faire ? Lui dire bonjour ? Je ne sais pas, première peur de la journée, je ne veux pas être la pièce rapportée ou comme quelle que chose qui est là, ça nous gène mais que dire… C’est horrible de penser cela ? Surtout quand objectivement tout ce passe très bien. Alors les poissons s’entre choque. Je lui dis « Holà » /Elle avait son casque peut être aurai-je du m’abstenir ?/ Elle me répond « Holà » puis je suis le flux de personnes et m’enfonce dans le bus. Sur le chemin de la faculté nos regard se croisent pas un mot je ne sais pas comment l’interpréter. Peut être ai-je cette peur de l’inconnu ou cette peur de que penses l’autre de moi ? Mais finalement est ce que ce n’est pas un peut égotiste de raisonner comme cela ? Sans le regard de l’autre pouvons nous réellement exister ? Q’allez vous penser en lisant ceci ? Trop de questions s’entrechoque qu’elles finissent par se saturer à tel point que je ne peut les percevoir.