Errances

20 novembre 2023

modèle

Filed under: wanderings,- zouille — zouille @ 18:28

Un jour je créerai la performance la plus clichée du monde

Filed under: wanderings,- zie — Zie @ 13:27

Quelqu’un qui se met tout nu
Quelqu’un qui crie en courant partout
Quelqu’un qui peint en très grand avec son corps nu
Quelqu’un qui se frotte sur les murs et les tâche de peinture avec un air tourmenté
Quelqu’un qui se tient debout et ne fait rien
Quelqu’un qui te regarde droit dans les yeux
Quelqu’un qui chante un truc étrange

Quelqu’un qui fait des bruits de bouche dans un micro

Quelqu’un qui chante faux et fort
Quelqu’un qui cite de la poésie
Quelqu’un qui se roule de tout son long par terre
Quelqu’un qui fait rien pendant 5 min                      Quelqu’un qui se rapproche très près de notre visage

Quelqu’un qui nous met mal à l’aise mais on doit rester parce qu’on est incultes et qu’on comprend pas l’art

devant toi

Filed under: wanderings,- panoplie — panoplie @ 10:50

sans toi dans le siège d’à côté la salle de cinéma ressemble à une immense forêt noire. Je frissonne quand je perçois une créature me frôler et s’asseoir à ta place. On est comme elles, les bestioles dérangeantes.

le jour du crocodile

Filed under: wanderings,- panoplie — panoplie @ 10:43

le jour de son anniversaire maman rejouait la même histoire : une panne de courant quand il rentrait du travail. Elle nous disait de l’attendre dans le noir, et allumait trois bougies sur quelque chose d’original dans la cuisine pour bricoler un gateau si on n’en avait pas fait un, avec trois pommes, c’est arrivé que ce soit une courge une fois. Il faisait toujours semblant d’être surpris. Le jour de son anniversaire c’est rare qu’il fasse beau. C’est un jour sans fin où on ne parle pas ou très peu : on a appris à passer au travers. On s’essaie à l’attention et à la tendresse mais c’est comme faire rentrer un rond dans un carré. Le jour de son anniversaire me renvoie à la photo d’un crocodile à la page du mois de novembre sur un vieux calendrier de 2008. Chaque année le voile sur ses yeux s’épaissit. Je me demande si il est triste. Je me demande s’il s’en fout simplement. Cette année ça tombe un samedi. Quand je l’ai appelé la première fois il n’a pas décroché.

notes programmation 2

Filed under: wanderings,- bullos — bullos @ 01:46

Filed under: wanderings,- bullos — bullos @ 01:42

griffonnages typographiques par ci par là

Tempête Ciaran

Filed under: wanderings,- bullos — bullos @ 01:39

essai 3

Filed under: wanderings,- bullos — bullos @ 01:36

essai 2

Filed under: wanderings,- bullos — bullos @ 01:34

essai 1

Filed under: wanderings,- bullos — bullos @ 01:32

Mon lit, boulevard des 3 Croix

Filed under: - piitzuuu — Piitzuuu @ 00:13

plus dretards dans mes errances

plus dretards pour pas assez longtemps

19 novembre 2023

cimetière du nord-3

Filed under: wanderings,- zouille — zouille @ 22:42

Fuzzy memories

Filed under: - piitzuuu — Piitzuuu @ 22:31

A peine nous trouvons une place où garer la Betsy que j’offre une bière à Elea et Aurélien. La fraîcheur de la nuit fond sur mes joues roses. Ce soir, il n’est plus question de me tourmenter par la passion. Voilà deux semaines que mes tripes ressentent les secousses de dates espacés, de conversations qui ne s’épanchent jamais sur ce qui va se passer. Tu sembles occupé, et je ne veux surtout pas, au grand jamais, m’imposer. Des inspirations longues et profondes sans véritablement parvenir à respirer me frissonnent un mauvais pressentiment, que je ressens comme imminent. Mais ce soir, je suis à seulement une soirée, à seulement une journée de ta présence. Dans 24h je sais que mon coeur de nouveau cessera de battre d’anxiété. Que mon sang se fera calme et balade. Que les seules perles qui poindront sur mon front seront celles de nos ébats d’âmes et cascades. Ce soir, j’expire tous mes armements et pars à la découverte de ce que Facebook nous promet un évènement électronique à ne pas louper. Début de soirée: espace mignon de guirlandes à guinguette, le DJ set est plutôt chouette, je m’allume une première cigarette. Après un tour d’horizon, nous nous asseyons, entamons la discussion sur 1001 sujets, les mains expressives de gaité, oubliant jamais de les désaltérer. Le poids de la guerre interne en moins, je me plonge si vite et si bien dans des éclats de rire, que je ne perçois pas l’ambiance aux alentours accélérée d’un cran. L’espace est plus rempli, les mélodies plus entrainantes, le rythme interne suit, on sent la musique devenir un torrent enivrant. Les genoux fléchissent les hanches, le tempo de nos bras ondulant. Oulalah je commence à sentir mes oreilles s’enflammer, mon sourire grandit quand dans les yeux de mes amis se reflètent mes yeux pétillants. De joyeuses auras chaloupent autour, il y a longtemps que je n’avais pas ressentis ces agréables émois. Ça virevolte. Ca tourne à droite. Ca tangue à gauche. Je rouvre les yeux. Je t’aperçois. De plein fouet je me fige. C’est drôle, ce n’est en rien douloureux. Et pourtant, la surprise me percute en bombe, droit à l’estomac. Elle me suspend sur place, me laisse sans voix. « Qu’est ce que tu fous la ? Qu’est ce que je fais ? » Sans réussir à détacher mon regard de toi, ma main cherche Eléa pour lui partager l’urgence. « Il est là, je fais quoi ? » D’un amour de grande soeur, de ses plus tendres fossettes, elle m’encourage « Va le voir! » L’excitation palpitante libère tous les essaims de papillons et leur battements recouvre la froideur métallique d’une peur qui me martèle « Il va croire à un espionnage! » Je bois une gorgée, me roule une cigarette. Mais ne perds jamais de vue ton aura d’or, ton élégance splendide. Tu rayonnes et je me sens tout petit. Tiraillement entre le magnétisme de ton sourire, qui te remonte par croissant dans les coins merveilleux de tes yeux. Et l’immobilisme de mes frayeurs, qui me plâtrent sur place, qui s’affaissent sur mon coeur. Il suffit d’un coup d’oeil. Tu me pénètres. Tu les tues tous. D’un naturel léger, d’une spontanéité évidente, tu t’approches de mon champs de bataille. Tu fais taire les bombardements. Tu m’apparais comme un rayon en plein Février. D’un air enjoué et surpris. D’une simplicité, d’un air frais qui chassent toutes mes pluies.

Filed under: wanderings,- ezra — Ezras @ 21:53

 


A l’attention
du
lecteur. 

Errance est mon bijou et mon jardin presque secret, dans la vie réel ne m’en parle jamais. ( pitié ) J’ai fais une erreur de t’en parler, tu peux lire mais garde le pour toi.

 

(si tu passes vraiment par là, dis le moi juste une fois)

 

 

Compression de cerveau

Filed under: wanderings,- zie — Zie @ 20:16

C’est justement quand j’ai la tête pleine de choses qui cherchent à sortir que j’arrive moins à écrire

Ces trucs là s’installent au dernier étage comme s’ils étaient chez eux, ils enlèvent leurs baskets et posent leurs pieds qui puent sur le canapé, tout en demandant si y’a des bières au frigo

Ils foutent un bordel incroyable, et me tendent tellement que je me retrouve paralysé sur place, comme dans les rêves terrifiants où tu sens bien que t’es plus capable de contrôler ce qui t’arrive

On t’a coupé la respiration, la capacité d’avancer, de bouger, d’émettre un son

Ou alors c’est deux mains qui viennent écraser la tête, chacune appuyant sur une des oreilles. Elles essayent de voir jusqu’où elles peuvent aller avant que le crâne ne se déforme, et pendant que je lutte je me mets en mode avion

Enfin pilote automatique mais c pareil

Mon corps va là où il doit aller, ma bouche dit ce qu’il faut dire, et ça a l’air de suffire

casse-tête

Filed under: wanderings,- zouille — zouille @ 18:11

ça avance

Filed under: wanderings,- corbix — corbik @ 17:28

iels étaient étonnement différent.e.s de par leur taille, leur couleur, leur morphologie

Un peu de musik

Filed under: wanderings,- leostrate — leostrate @ 15:55

généralités (53)

Filed under: wanderings,- saintemarie — SainteMarie @ 03:13

samedi 18 novembre

Pourquoi je rêve de monastère :

(Résumé détaillé de mon état actuel)

La patience paye : mon mulet caresse désormais mes épaules.  J’imagine déjà le jour où il me tombera en bas du dos. Est ce que je serais plus forte à ce moment-là?

Plus forte pour moi ça veut dire plus disciplinée et moins lâche, et j’imagine qu’il y a forcément une puissance dans l’exercice de stabilité de se laisser pousser les cheveux.

Depuis quelques semaines ma passion a diminué jusqu’à presque s’éteindre, malheureusement pour moi je ne tourne qu’à la passion. Je ne tourne pas à l’ambition, parce que j’ai même pas 22 ans et j’ai accompli tous mes rêves déjà (vivre seule, connaître l’amour, connaître le bonheur, connaître la quiétude). Pas si modeste comme bucket-list : je pensais me débattre avec mes tourments adolescents pendant quelques années encore avant cet apaisement. Contrairement à d’habitude j’ai été efficace, et puis j’ai enchaîné les coups de chance.

Mais j’avais pas vu plus loin. Donc oui je peux carburer à la passion mais je ne suis pas si passionnée, la plupart du temps je me laisse porter par un espèce d’hédonisme paresseux, par des plaisirs bruts, ou par les autres. Quand il y a rien de tout ça, et bien il n’y a rien. Apathie, léthargie paralysante. Effet secondaire et séquelle de mes douleurs  précédentes. Je me réveille écrasée,  je dors, au moins 12h, 15h chaque nuit, et chaque fois je perd un peu de moi, je deviens vite absente, entourée de brouillard épais. Dans les vapes.

Des vapes de méandres, trucs bizarres : des poissons sans tête des questions sur l’âme ce qui nourrit mon âme, ce qui la tue. Je pense aux oeillères sur oeillères que j’ai à propos des vrais malheurs des autres, (forcément la question se pose par rapport à mon égocentrisme), je préfère fermer cette question d’un solide coup de déni (par paresse morale). Je pense à des sectes aussi, à toutes sortes d’infâmes criminels (terroristes domestiques américains, notamment). Je malmène mes convictions profondes (anti-carcérales, humanistes,…) avec diverses horreurs. 

 

En fait j’ai développé une forme de chrétienté dégénérée,  je crois que c’est pour ça que je pense autant aux sectes, parce que j’ai l’impression d’avoir ma propre secte toute seule chez moi avec mes bougies et mes murs moisis . Je sais que je parle beaucoup des murs moisis  mais je m’y identifie désormais de manière totale. Je suis le mur moisi, je suis mon appartement et le bordel dedans. Et d’ailleurs il suffirait de baisser d’un cran pour que ça soit moins inquiétant,de passer de secte à monastère, mon propre monastère. Je sonne comme une folle peut-être, c’est à force de rester toute seule chez moi je boucle je marine mes idéees dans la moisissure des murs.

Si j’avais grandi à la campagne est ce que j’aurais le cerveau aussi moisi est ce que j’aurais laissé mes murs moisir mon âme croupir par simple apathie paresse inaction ? J’ai toujours rêvé des grands espaces, genre into the wild, l’appel de la forêt, l’océan même mais je suis pas assez débrouillarde pour survivre à un jour en mer ou dans les bois.

Je sonne sombre mais ces histoires de murs moisi c’est rien enfin vous voyez bien je suis gentiment assise derrière mon ordi à les entourer de métaphores, pas à les subir en silence, cloitrée dans mon lit. Et ça fait des mois et des mois que j’ai pas eu des sanglots douloureux, j’ai plus jamais l’impression de perdre la tête de perdre pied complet.

J’ai eu du mal à écrire récemment, ça bloquait et aujourd’hui ça glisse, comme si tout ce qui avait coincé sortait d’un coup en post-barrage. Entre temps j’ai oublié si j’écris pour moi ou pour les autres enfin si, j’écris de moi vers les autres, j’attend pas de réponse mais j’en espère une, j’espère une main tendue qui me dit tu n’es pas la seule à boucler sur le christ sur le cul sur les murs, de toi à moi tu as tissé un fil.

Bref l’histoire du monastère c’est que j’aimerais une cloche qui sonne assez fort pour me réveiller, j’aimerais qu’on me dise quoi faire à chaque heure de la journée, et puis le marron c’est ma couleur préféré je serai trop belle dans ces longues robes, je m’occuperais de peindre des fresque dans la chapelle, quand j’aurais fini je ferais une autre fresque dans le réfectoire, je peindrais la Cène probablement, comme on a coutume de faire.

C’est un fantasme évidemment, mais j’essaye d’en faire une direction. Le problème c’est que la passivité m’a beaucoup aidé, le renoncement m’a été très utile. Quand j’ai arrêté d’essayer d’être meilleure à tout prix c’est là que je le suis devenue. C’est une forme de foi je sais que c’est naïf, mais c’est comme les sables mouvant quand tu te débat tu coules. J’ai eu le droit à des miracles, je ne souffre plus et face à ça je sais pas quoi faire d’autre que remercier le ciel, dès que j’y pense.

Je me suis sentie disparaître cette semaine, j’ai eu peur. Aujourd’hui ça va mieux mais je sais pas si ça va durer. J’accepte ma nature fluctuante dans ce qu’elle a de mieux mais je n’accepterai pas ces états intermédiaire stagnant, je vaux mieux que ça, je vaux mieux que croupir dans mon lit de novembre à février.

Interlude

Filed under: - antide,wanderings — latige111 @ 01:24

C’est pareil à chaque fois

La mer me lave de la crasse du goudron

La mer me rend lisse comme un galet

(Mer me lave de crasse goudron

Mer me lisse comme galet)

18 novembre 2023

Faites de beaux rêves

Filed under: wanderings,- ezra — Ezras @ 23:28

C’était pourtant pas si compliqué. Je me suis endormie en me visualisant lui écrire des lettres de haines, qui dégouline de méchanceté et de venin. Puis je lui ai proposé de m’accompagner le jour d’après. Il a dit oui alors j’ai rangé stylo et couteau dans mon tiroir de bureau.

Extrait de note n°14

Filed under: wanderings,- ezra — Ezras @ 23:24

Colère découverte

Relent de bile qui attaque le fond de la gorge et fais hérisser les poils d’avant bras ( petit picotements dans les tétons aussi). [..] Pourtant on m’a raconté les mythes de mes deux ans, où tous les jours j’explosais comme une petite boule de griffes et de pleurs, calmable seulement sous l’eau froide d’une douche habillée. Puis pouf, d’un seul coup, sur un mot de ma grand-mère elle est parti pendant 18 ans. Elle aussi a peut être eu besoin d’attendre la majorité pour partir de chez ses parents, Tristesse et Laisser-Aller.
Alors maintenant qu’elle est bien là, voici comment l’accueillir :

  • Les personnes qui te coupent le chemin quand tu avances en ligne droite dans la rue
  • Ton ex qui te reproche d’avoir manqué de respect à ses nouveaux amis car  tu ne leur pas dit bonjour avec le sourire (tu as pleuré)
  • Un tocard qui t’unfollow sur Insta pour venir ramper dans tes dm après
  • Un Prof qui fait des reproches sur l’absentéisme aux gens présent
  • Ton casque anti-bruits qui rend l’âme et tes très chers amis qui parlent trop fort dans l’atelier
  • Les randoms qui parlent dans l’atelier
  • Lui qui te bat au concours de celui qui prend le plus de temps à répondre
  • Quand c’est de sa faute mais que tu préférais que ce soit de la tienne
  • Les gens en retards
  • La musique qui arrive comme un cheveux sur la soupe d’un enchaînement bien calibré


[…] Beuuuuu Don Draper est devenu bien lourd et maladroit avec les femmes depuis qu’il s’est fait quitté. Pathétique et désespéré, burk la magie est partie et elles sont toutes toujours si souriante avec lui. Est-ce qu’elles ont pitié de lui ? Est-ce que j’ai déjà été à la place de l’un ou de l’autre ?

Piriac-sur-Mer

Filed under: - piitzuuu — Piitzuuu @ 22:24

Des nuits entières à marcher ailleurs, loin de chez soi, mère, frères et soeurs, les pieds dans la neige, à gagner du temps, le temps de fuir, le temps qu’il s’endorme dans leur draps. Des kilomètres de fugues à sauter de fenêtres en vallée de vignes, cherchant à retourner dans ses bras. Des conneries à en alerter les douanes pour éviter à tout prix qu’elles ne quittent le pays. Poursuivre sa quête de chaleur maternelle, se retrouver au coeur des vices de Paris, recueilli sous l’aile d’un proxénète.

D’habitude, il ne supporte pas ses caprices sous cet état. Elle l’irrite, elle l’agace, il veut juste qu’elle s’endorme et redevienne normale. Qu’elle retrouve sa chaleur, ses véritables émois. Mais ce soir, les histoires de Mamie résonnent encore. Las de lutter contre son amour, il la regarde et sourit. Il ne comprendra jamais mais comprend qu’il ne peut plus la juger. Un verre brisé en plein coeur lui reflète quelques horreurs qu’a subit la petite fille qui git aujourd’hui devant lui. Ce soir il ne l’encourage pas, il s’arrêtera même lorsqu’il réalisera tout ça. Ce soir il veut accompagné Maman, bras dessus, bras dessous, dans les douces folies d’une enfance, dans les douces fantaisies d’une adolescence, dans les innocente rêveries d’une jeunesse privée que l’alcool réveille. 

flake or fluke?

Filed under: wanderings,- mr. white — Mr. White @ 21:07

the sky is low
the clouds are mean
– Emily Dickinson

Soirée patate douce

Filed under: wanderings,- zie — Zie @ 20:16

Cartographie (1)

Filed under: wanderings,- antide — latige111 @ 16:02

à portée de main

Filed under: wanderings,- theo — theo @ 14:27

la main dans les poches
un sachet de lavande
une clémentine peinte
des écrous
un ticket de Breizh Go ramassé par terre
un catadioptre
des huiles essentielles

ma carte du boulot
c’est bon je l’ai, je suis sur un chemin de fer tout roule

envol

Filed under: wanderings,- panoplie — panoplie @ 01:03

généralités (52)

Filed under: wanderings,- saintemarie — SainteMarie @ 00:44

vendredi 17 novembre
Abasourdie par le plomb du quotidien, par mes murs qui ont moisis (parce que j’ai pas contacté ma proprio à propos des fuites d’eau), par mon cerveau qui a moisi (parce que j’ai pas contacté mon médecin à propos des fuites d’eau), par des douleurs naissantes (genoux, entre les omoplates, mal à la tête, forcément), par des absences, des désirs qui ont disparus.

17 novembre 2023

Extrait de note n°13

Filed under: wanderings,- ezra — Ezras @ 23:18

« Je t’ai écris cette lettre à la fin de l’été mais elle est restée sur un coin de ma table pendant plusieurs jours semaine mois. Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas réussi à la poster plus tôt. Peut être qu’avec toi je serais toujours un peu timide. Mais bon voilà c’est enfin fais si tu lis ce post-it et je rajoute que même si le temps passe je garde toujours notre amitié dans un joli coin de mon cœur.
Bisous mon Maxime »*

*à envoyer

 

L’attente fais monter la pression on dit. C’est bien connu. Et bien apparemment on vit pleins de première fois dans une seule vie. Je devrais être contente d’avoir du renouveau, après tout je n’ai même pas fais un quart du chemin. Je ne sais pas si j’ai l’impression d’avoir 15 ans à nouveau ou si à cet âge là j’avais déjà brûlé les étapes. Madonna did it first (like a virgin).

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