Errances

7 novembre 2023

me rouler en boule par terre

Filed under: wanderings,- theo — theo @ 11:34

j’ai failli m’endormir en attendant mon bus.
il y a de la pluie entre mes yeux et le reste mais il fait beau quand-même. il faut juste ouvrir la fenêtre.

j’essaie de m’enregistrer

Filed under: wanderings,- theo — theo @ 01:53

j’essaie de m’enregistrer en train de parler d’un projet. l’année dernière à un moment j’avais mais un peu de retranscription et ça m’avait plu.ça m’avait pris des heures mais j’avais beaucoup aimé finir de tout réécrire sur le document partagé. je pense que j’avais aimé la sensation de finir quelque chose pour une fois. c’est cool de faire des trucs.

6 novembre 2023

Filed under: wanderings,- corbix — corbik @ 23:57

 

premiers essais 3D avec Blender
rencontre du jour avec le compagnons juste au dessus 

Extrait de note n°10

Filed under: wanderings,- ezra — Ezras @ 23:41

Ezra et Gabriel sont plutôt proches, ils viennent du même endroit et cohabitent probablement dans la même pièce de mon corps. Quand je rejoindrais enfin mon frère dans l’au-delà, les premières larmes qu’il récupérera seront peut être sous la forme de Ezra. […] C’est l’écho en moi qui comprends le langage des anges, de mon ange. La lumière qui ne parle qu’à moi. Paranoïa, Angel, True Love.

Gabriel m’aurait envoyé l’idée de cet être pour trouver un moyen de communiquer avec moi, il aurait implanté cette sensibilité pour se faire entendre, trouver un lien.

Ce soir je le sens derrière mon dos quand je me tourne pour dormir du mauvais côté de mon lit.

Besoin de brevet

Filed under: wanderings,- zie — Zie @ 23:34

Objet qui n’existe pas encore

Un doudou qui chante des comptines pour adultes

J’ai une playlist « tqt » et une playlist « détends toi le cul » sur Spotify. Certes ça me berce, et certes, j’ai mes doudous qui m’aident aussi, mais je crois qu’il manque toujours quelque chose de plus visé:

À toi l’adulte, jeune ou vieux, toi que l’on désigne ainsi malgré toi depuis que tu as dépassé le club des 20, ou toi qui affiches fièrement ce titre partout où tu vas, telle une médaille d’honneur soulignant que ton grand âge a forcément su faire de toi quelqu’un de savant, d’affûté, de plus smart que nous autres jeunes inscoucient.es

Toi, tu as quand même le droit qu’on te fasse un câlin imaginaire quand tu pleurs parce que quelqu’un.e a été méchant.e avec toi aujourd’hui au bureau, et que t’as pas de coloc sur qui décharger tes larmes et ta morve

ça clignote

Filed under: wanderings,- panoplie — panoplie @ 23:29

il porte des lunettes de piscine sur ses yeux pour découper les oignons mais pas pour se laver. Plus tard quand je rince la vaisselle, il émerge par moments un bras, une main, une boucle, un bout de cuisse de derrière la cloison dans la lumière du matin qui lui ricoche dessus.

dans la boite

Filed under: wanderings,- panoplie — panoplie @ 23:03

(more…)

granit

Filed under: wanderings,- panoplie — panoplie @ 23:00

Boulevard des 3 Croix, table du salon

Filed under: - piitzuuu — Piitzuuu @ 22:52

Voilà 5 jours que Mamie les a quitté et cette après-midi ils célébreront l’incinération. Le ciel est gris, on est en Mars, c’est un jeudi. Il était convenu qu’il aille récupérer Wendy à la gare de Libourne. Ça lui fait plaisir, depuis qu’il avait commencé ses études, cela faisait bien longtemps qu’il n’avait pas conduit de voiture. En attendant, comme à chaque moment de flottement, il ouvre son carnet et se met à dessiner sur la table de la cuisine. Il flotte à son tour. Et selon son frère, il flotte un peu trop longtemps. Sans aucune consultation, Tommy lui succède en se préparant, dérobant les clefs de voiture qu’il avait posé à côté de sa trousse à dessin. On l’accuse d’être en retard à tord. Ne se laissant pas faire, une violente dispute éclate entre les deux frères. Aveuglés par l’ascension de l’ascendant, ils en oublient la tragédie de la journée, mêlant à leur querelle père et mère. Il tente désespérément de leur faire comprendre qu’il finit seulement son dessin, qu’il n’est question que de 5 minutes, qu’il est prêt à y aller. Désillusion, irresponsabilité et égoïsme. Les dures paroles fusent et d’aucuns ne se soucis de l’absence du père, ayant pris congé en se rendant utile, en direction de la gare de Libourne. Comme à chaque fois, Tommy sème la tempête et disparait. Se retrouver seulement sa mère et lui la gorge rouge et gonflée, déployant des mots injectés, les yeux implissables, deux astres qui s’entrechoquent de plein fouet. Sentiment d’injustice injustifiable, il succombe à la panique et entre en état de trou noir. Il se réveille quelques secondes plus tard face à une cuisine et un salon victimes d’une tornade. Contre son mur de chambre, l’arrière de son crâne vibre sourdement et malgré sa respiration rapide, il tend à retrouver son sang-froid. C’est sans compter la noirceur transperçant le bleu de ses yeux qui le fixent plein de dénigrement. Et comme si elle réalisait pour la première fois, d’une voix trop calme pour qu’elle ne pense pas ce qu’elle dit, elle lache: « Tu es fou. Faut te faire soigner, tu es fou. » Les trois premières syllabes ont fait réapparaitre le néant massif, et avant même qu’elle finisse l’enchainement, il se protège d’un « Ta gueule ». Une protection qu’il regrette à la seconde où elle se déploie, qui allume dans son regard quelque chose qu’il connait si bien. Le trou noir à changé de camps. En un éclair, une vingtaine de gifles s’abattent sur ses joues qu’il sert de sa mâchoire de pierre. D’aucunes excuses ne sera suffisantes entre les vas-et-vient interminables, ne ressentant plus aucune douleur, qu’une énorme honte. Quand il y repense, les braises se promènent sur ses joues, empreinte de feu d’une paire de mains d’ordinaire si chaleureuse.

bread n’ roses

Filed under: wanderings,- mr. white — Mr. White @ 22:12

as we go marching, marching, in the beauty of the day,
a million darkened kitchens, a thousand mill lofts gray,
are touched with all the radiance that a sudden sun discloses,
for the people hear us singing: bread and roses! bread and roses!

as we go marching, marching, we battle too for men,
for they are women’s children, and we mother them again.
our lives shall not be sweated from birth until life closes;
hearts starve as well as bodies; give us bread, but give us roses.

as we go marching, marching, unnumbered women dead
go crying through our singing their ancient call for bread.
small art and love and beauty their drudging spirits knew.
yes, it is bread we fight for, but we fight for roses too.

-james hoppenheim, 1911

café des champs libres

Filed under: wanderings,- zouille — zouille @ 22:07

Atelier d’écriture (5) avec Lakrima

Filed under: - antide,wanderings — latige111 @ 21:49

Le couinement de ta peau qui frotte contre la glace te hérisse les poils. La buée tout juste estompée
laisse une fine couche de brouillard entre ton reflet et toi. Les yeux encore plissés de sommeil, tu te
scrute de tes grands yeux jaunes au milieu, ocres sur les bords, dorés entre les deux. Tu t’apprêtes à
prendre une deuxième gorgée de café quand une intuition étrange t’envahit : quelque chose a changé
dans la composition de ton visage. Tes mâchoires ont l’air plus larges, plus carrées. Tu frottes à
nouveau le miroir, puis tes yeux, et te rapproches. Ton nez touche presque la surface de la glace. Tes
pupilles s’arrondissent brutalement en découvrant une rangée de dents éclatantes et surtout très
pointues, encadrées par deux longues canines. Tu fermes les yeux, prends une longue gorgée d’air,
la bloque dans le fond de tes poumons, et la laisse lentement s’échapper par tes narines
entrouvertes. Une douleur vive dans les gencives et tu te rappelle cette nuit, la lumière pâle de la
pleine lune qui illumine ta chambre. Puis la fièvre qui monte, les griffes qui sortent, les meubles
renversés, ta couette déchiquetée. Tu rouvres les yeux, adresse à ton reflet un sourire hésitant : il est
redevenu comme avant.

Atelier d’écriture (6) avec Fanny Lallart

Filed under: - antide,wanderings — latige111 @ 21:44

(TW dentiste, aiguille, sexualité)

 

IL MANQUE TROIS QUENOTTES

DEUX EN HAUT UNE EN BAS

LES TROUS ONT ÉTÉ COMBLES

LES QUENOTTES RESSEREES

CA SE VOIT PAS MAIS

SI T’OBSERVE BIEN

QUENOTTES ALIGNÉES MAIS

CANINES RAPPROCHÉES :

SOURIRE DE VAMPIRE

FAUT CROIRE QU’YAVAIT PAS LA PLACE

C’EST VRAI LA BOUCHE EST TOUTE PETITE

QUENOTTES QUI POUSSENT DE TRAVIOLE

ALORS MERCI POUR LES GROS TRAVAUX

CIMENT ECHAFFAUDAGES GOUTTIÈRES CHEMIN DE FER

IL EN RESTE QUE DES VESTIGES

TIGE DE FER FIGÉE DANS LA RÉSINE

DENTITION AUX NORMES

MA BOUCHE EST UNE RUINE

AMYGDALE GAUCHE GONFLÉE

TU PEUX PLUS AVALER

TU PEUX PLUS RESPIRER

CAMERA DANS LE NEZ

PCHIT AMER DANS LE FOND

L’AIGUILLE LAISSE UN TROU

PROFOND DANS LA CAVITE

TU TIRES LA LANGUE

TU DIS AAAAAAAAAAH

BÂTON SUR LA LANGUE

RÉFLEXE NAUSÉEUX

GANTS EN LATEX GOUT AMER

CAPOTE EN LATEX GOUT FRAISE

TU DIS AAAAAAAAAAH

GORGE PROFONDE

RÉFLEXE NAUSÉEUX

Les esprits de Fréhel

Filed under: wanderings,- leostrate — leostrate @ 16:25

Les esprits de Fréhel

Filed under: wanderings,- leostrate — leostrate @ 16:22

[Rêver l’obscur, Starhawk]

Filed under: - antide,wanderings — latige111 @ 13:01

Ainsi, je parle de la Déesse comme d’une tisserande, une araignée, et je commence à faire attention aux araignées qui tissent leurs toiles dans les coins. Je fais l’expérience de la toile comme un rythme de fils et d’espaces. Je vois qu’il y a des nœuds et des vides, et que le jeu de la matière et de l’espace donne à toute la toile une tension, la rend à la fois robuste et élastique, un ressort.

Je médite sur la toile et c’est cette sensation de robustesse que je retiens, que je savoure, que j’incorpore jusqu’à être capable de la rappeler à volonté. Je cherche dans ma propre vie ces nœuds, ces espaces – dans les mots, dans les relations -, et connaître la sensation de la toile me donne le pouvoir d’être capable de sentir la même robustesse dans les nœuds et les espaces de ma vie.

Et parce que l’araignée, la toile sont réelles et contiennent toute la richesse de la réalité, elles peuvent, d’autres jours, me donner d’autres pouvoirs. En regardant l’araignée extraire les fils de son propre corps, je peux apprendre à extraire des cordes d’énergie de mon propre corps, à les tisser dans de nouvelles formes; à extraire des mots de ma tête, de mes mains – pour tisser cette page.

5 novembre 2023

Extrait de carnet n°9

Filed under: wanderings,- ezra — Ezras @ 23:41

Marie et des questions, encore

  • Oui, j’ai envie de dire que c’est même capitale. […] Je tombe aussi bien amoureuse de la personne que de l’artiste. Mais l’épée est à double tranchant. Je ne pourrais pas tomber amoureuse d’une personne dont je n’aime pas l’art, ça me rendrait méprisante. En faite je crois que c’est plutôt logique, c’est un lifestyle tellement prenant et entier que c’est dur de le projeter à long terme avec quelqu’un qui ne le partage pas. Les médecins se marient entre eux, et les artistes aussi. […] Par contre, je ne sais pas si je voudrais ressortir avec quelqu’un qui partage le même médium de prédilection. Il y a une sorte de fusion qui floute les limites des idées de nos travaux respectifs. Ma peinture ne serait pas ce qu’elle est aujourd’hui sans lui (vice-versa aussi) et je ne sais pas si j’ai envie de donner ce pouvoir à quelqu’un d’autre encore une fois.
  • Je le tenterais si j’y étais confrontée. Enfin ça nécessite quand même d’avoir la capacité de pouvoir être amoureux•se de plusieurs personnes en même temps. Et je dis bien capacité parce que ça me parait épuisant. Pour l’instant je préfère mettre mon énergie vitale dans la peinture.
  • J’ai personnellement jamais avalé de vomi ni recouché avec un•une ex, donc en pratique je ne sais pas. Mais je suis une grande adepte des adages graveleux (mon préféré : Je ne mange pas là où je chie.) Aussi ça me paraît plutôt être du bon sens que c’est une mauvaise idée. Donc oui. Après pour pousser la question un peu plus loin, est-ce que si j’en avais la possibilité je recoucherais [mon stylo fétiche a passé l’arme à gauche avant de pouvoir terminer. tragique.]

Oublié dans un carnet

Filed under: wanderings,- zie — Zie @ 23:40

Jeu jouer attraper quelque chose de trop gros pour soi
Vouloir tout de suite maintenant tout, maintenant
3 briques. Des fondations Ça tient seul comme ça mais si tu t’assois au bord je te garantis que tu feras tout basculer tu finiras par terre, seul.e. C’est comme une chute.
En fait on t’a poussé par derrière, ça t’a fait comme un choc, électrocution par caressage de chèvre. Tu te réveilleras juste après
Il y a un monstre posé sur ton lit. Ses deux tous petits yeux perçants te dévisagent Il a une main en forme de selle de vélo, une oreille en forme de paire de fesses et un corps avec deux mains conjointes aux pouces et à quatre doigts chacune, à la place des pieds
Tu t’es déjà cassé la gueule à vélo ? Qu’est ce que cette selle t’évoque ? Demanderait Thierry
Avant on portait des robes longues, des chapeaux, des foulards et les messieurs nous regardaient. Ensuite on a fait du vélo et ils ont eu plus de mal à nous regarder

снятся сны

Filed under: wanderings,- zouille — zouille @ 23:09

снятся сны
пишутся стихи
описать лицо
длинные ресницы
белый утренний свет
ослепил меня

 

no?

Filed under: wanderings,- mr. white — Mr. White @ 20:28

life is too short to talk about metaphysics

Boulevard des 3 Croix, Table du salon

Filed under: - piitzuuu — Piitzuuu @ 18:31

« Le bleu et le orange se rencontrent dans une éternelle étreinte quand dans ce levé du Soleil, mes larmes ne perçoivent que ton âme. Dans cet océan de givre, tes mots enveloppent mon regard qui, dans le flou, se perd dans un brouillard chaud de chamailleries heureuses à tes côtés. Le froid ne me glace pas. Seulement ta voix me cristallise, ondulant dans ma mémoire comme le Let it go d’une eau insaisissable. »

back to the limp

Filed under: wanderings,- theo — theo @ 16:56

it had been long old friend
shoot em in the leg so they won’t run as fast
circling
chasing it’s tail
back to step one

saut

Filed under: wanderings,- zouille — zouille @ 16:50

Filed under: wanderings,- corbix — corbik @ 00:57

4 novembre 2023

Il faut faire quelque chose

Filed under: wanderings,- zie — Zie @ 23:05

Facile de perdre le réflexe de s’agiter

D’oublier que ce gros bout de viande composé d’une tête, de deux bras et d’un gros abdomen à besoin de bouger un minimum pour garder foi en la vie

Le cul aimanté à mon lit refuse tout type de négociation

dormir dans le train

Filed under: wanderings,- theo — theo @ 22:45

à Dol on a failli oublier de descendre. demain j’aurais des courbatures aux jambes. plus que 98 jours sur 100, c’est joyeux il en reste encore tellement.

je ne sais pas comment s’appellent tous les oiseaux qu’on a vu aujourd’hui mais je peux toujours demander ou leur inventer des noms. il y en a sûrement au moins un qui s’appelle Martin.

Boulevard des 3 Croix, Rennes

Filed under: - piitzuuu — Piitzuuu @ 19:15

« Te revoilà. Après plusieurs mois sans un mot, mille tentatives pour estomper ton visage, finalement, tu arriveras toujours à briser l’oubli. Je ne sais pas comment te redécouvrir, comment réagir quand tu surgis encore. Tu restes tendre et sans encombres, me laissant convaincu coupable de mes propres tourments. Tu ne sais rien de tout ça évidemment et tu ne le sauras sans doutes jamais. Je continue de t’aimer malgré les kilomètres parcourus à te fuir, à te chercher. Malgré les heures préoccupées à te retrouver dans ces fumées épaisses, à détruire le souvenir lourd de mon admiration pour toi. Tu es un sujet infini. Et aussi grand que je t’ai considéré, tombent en pluie torrentielles les images et les mots pour te cerner me noyant dans mes larmes. Tu me manques. Et le plus dur aujourd’hui, c’est de ne plus avoir la possibilité de te partager ça. Ce petit ça qui me peine tant quand te revoilà. Qui me peine autant que mon sourire est grand quand tu fais signe parfois. »

Combien de synonymes on peut trouver à « Je vous aime » ?

Filed under: wanderings,- ezra — Ezras @ 12:38

« C’est toujours un plaisir de faire la fête avec toi. »

« MDRR moi je me suis réveillée avec un léger sentiment de honte comme après toute soirée un peu arrosée qui se respecter »

« Putain jsuis trop contente que tu sois laaaaa ! »

« Moi l’alcool ça me donne une chiasse énorme le lendemain, pas toi ? »

« Euu désolé pour la musique, bien sûr on va baisser ! Et je peux te dire que tu as de très jolies yeux ? – Non ça marche pas trop. -Et une jolie bouche? -C’est pire. »

 « Eh j’espère que ton date était cool, j’ai passé une super soirée hier et c’était trop chouette de te voir 🤲🏻🥹 »

3 novembre 2023

lexique gallo

Filed under: wanderings,- corbix — corbik @ 23:59

le temps s’embernaodit, i vâ nous ché d’la pllé sur l’coin d’la goule !

Ethnologie du virtuel

Filed under: wanderings,- zie — Zie @ 23:13

Durant l’été 2023 j’ai commencé une collection de screenshots de profils Tinder qui continue aujourd’hui. Ma méthode de sélection est la suivante:

Je considère que si je rigole par automatiquement en tombant sur la dite photo, mais que l’image présentée n’a pas originellement pour vocation d’être drôle, je la garde. En toute honnêteté, cette collection est aujourd’hui exclusivement constituée de photos de profils d’hommes cis :)

Malgré quelques essais de projets (peu convainquant) , je n’ai pas encore décidé quoi faire de cette fabuleuse collection

Mais après avoir écumé Tinder de font en comble (que voulez vous, la jeunesse va très mal) , je me suis en effet rendue compte qu’un des fossés les plus visible entre les profils d’hommes cis et les « autres » était ce choix souvent si singulier de photos. Disons qu’il faut les voir pour comprendre, mais nous y reviendrons…

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