Errances

13 avril 2013

Sur le vif

Filed under: errances — tiry @ 14:07

11 avril 2013

… de Sandra

Filed under: errances — tiry @ 17:33

Hello !

Pour les étudiants errants fans de BD, je recommande ma dernière découverte : c’est « Mon ami Dahmer » par Derf Backderf. Derf raconte ses années lycées ou il a cotoyé un futur tueur en série, Jeffrey Dahmer, qui déjà à l’époque était un peu chelou. Mais ça le faisait plutôt marrer. Puis un jour le premier meurtre a eu lieu, et quelques années après la police l’a arrêté. Et là l’auteur s’est rappelé de plein d’anecdotes bizarres qui auraient/ou pas pu mettre la puce à l’oreille mais aussi de moments « normaux » en cours de sciences ou à la cantine. Jeffrey n’était pas un ami, plus un camarade mais l’auteur l’a beaucoup cotoyé. C’est une histoire vraie. Le dessin assez américain est agréable à lire et bref : ça tue !

A bientôt ! Sandra (vet’ errante)

1 avril 2013

La société du spectacle

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La Société du spectacle est un film français réalisé par Guy Debord, sorti en 1973. Ce film, selon la théorie du détournement développée par les situationnistes, se compose d’extraits d’autres œuvres mis en lien avec certains passages du livre du même nom, lus par lui-même. Guy Debord y développe une théorie de la spectacularisation de la société qui se trouve par là-même vidée de tout contenu, où  » le spectacle est une guerre de l’opium permanente pour faire accepter l’identification des biens aux marchandises et de la satisfaction à la survie augmentant selon ses propres lois » (citation du film).

17 mars 2013

Pour Julia

Filed under: errances — tiry @ 10:46

Pour Paul Auster, le corps est l’outil d’un mystérieux savoir sur soi.
« C’est l’histoire de ta vie. Chaque fois que tu arrives à une croisée des chemins, ton corps s’effondre, car ton corps a toujours su ce que ton esprit ignorait; et quel que soit le moyen qu’il emploie pour craquer, qu’il s’agisse d’une mononucléose, d’une gastrite ou de crise de panique, c’est toujours ton corps qui a repris à son compte le fardeau de tes batailles internes. »
dans Chronique d’hiver.

21 février 2013

Des statistiques

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textedescriptif

24 novembre 2012

Barbara

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Barbara ne chantait pas pour se distraire ou pour gagner sa vie, mais pour se relever des outrages qu’elle avait subis … chaque mot devenant un pas de plus sur le long chemin de sa reconstruction. Son moyen d’avancer, et finalement de vivre. Voilà pourquoi, quand elle chante son enfance, ses amours, ses deuils, on y percevait tant d’urgence et d’intensité. Barbara faisait de la chanson une absolue nécessité, renvoyant chaque auditeur à sa propre vérité.

par Valérie Leroux

14 octobre 2012

Le message , c’est le médium

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« Le message , c’est le médium » est une des plus célèbre phrase de Marshall McLuhan.
« […] en réalité et en pratique, le vrai message, c’est le médium lui-même, c’est-à-dire, tout simplement, que les effets d’un médium sur l’individu ou sur la société dépendent du changement d’échelle que produit chaque nouvelle technologie, chaque prolongement de nous-mêmes, dans notre vie. »
J’ai toujours eu du mal à expliquer cette phrase, même si le concept est assez intuitif.
Deux chercheurs spécialistes de McLuhan l’expliquent.

C’est beaucoup plus clair.

7 octobre 2012

5000ème post sur Errances

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post5000

30 septembre 2012

le passé selon Cyrulnik

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pour Morgane, Boris Cyrulnik explique comment le passé …

21 septembre 2012

Exposition Utopographie à Viva-Cité

Filed under: errances — tiry @ 17:22

Clément Aubry « errant » de la première promotion nous informe que des ateliers Utopographie seront organisés au Liberté dans le cadre de Viva-cité du 30 Sept au 7 Octobre
IL a été invité par Les Champs Libre pour réaliser une carte utopographique de rennes Métropole, et cette carte (3x3m!) sera exposé au liberté pendant Viva-cité

Donc les ateliers seront
Dimanche 30 sept
Mercredi 3 Octobre
Samedi 6 Octobre
Dimanche 7 Octobre
de 14h à 17h
La carte est visible toute la semaine… faites vous connaitre auprès de Clément si vous y allez.

28 janvier 2012

Lionel

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Antoine Seiter a réalisé un entretien et des photos de Lionel dans le cadre du workshop avec Sara de Bondt et Patrick Lacey, EESAB Rennes, 2010.
Cet entretien prend toute sa valeur alors que Lionel n’est plus la pour nous râler dessus.

Merci à Antoine de m’avoir permis de retranscrire cet entretien diffusé sur son blog

lionel_bretel

Entretien avec Lionel Bretel du 11 mars 2010

Lionel : On est arrivé ici en décembre 1978 et on a pris nos fonctions à partir de début janvier.
À cette époque là il fallait un couple avec un seul enfant parce que le logement n’était pas assez grand. Ma femme était concierge et moi j’étais concierge, on travaillait dans la loge, sans bouger de la loge. Ma femme travaillait le matin et moi l’ après midi ou vis-versa et les cours du soir terminaient plus tard donc on fermait l’école à dix heures moins le quart. En plus de ça le portail rue st Melaine n’était pas automatique, c’était un portail qui fallait fermer tous les soirs.
Il y avait une porte électrique (au 30, rue Hoche) et il fallait surveiller les entrées et sorties de l’école.
Le Directeur c’était Durant-Henriot et une dizaine d’années après il y a eu Jacques Sauvageot qui a changé complètement les choses. Il trouvait que c’était inhumain de laisser une personne dans la loge à rien faire et que c’était mieux de naviguer à droite, à gauche et travailler avec les étudiants ce qui était plus intéressant et je pense qu’il n’avait pas tort de dire ça.

Et là on a commencé à faire les travaux dans toute l’école, je crois qu’on a dû refaire 80% de l’école avec les agents d’ici. Il y avait plus d’agents, on était 7 agents techniques pour faire les travaux de peinture, électricité, placo… Ce que les gens ne peuvent pas voir c’est qu’on a refait tout l’intérieur de l’auditorium parce que c’était une pente douce qu’il y avait auparavant et pour tout ce qui était vidéo, ceux qui était derrière ne voyaient rien du tout. Si bien qu’on a fait un système en escalier pour pouvoir voir comme il faut. Au départ cet auditorium quand je l’ai connu ça ressemblait à un petit théâtre : c’était un plancher avec des sièges en bois. À chaque fois qu’il y avait des élections, ici c’était un central où toutes les urnes de l’extérieur arrivaient si bien qu’il fallait tout démonter et ça faisait des assemblées qui duraient jusqu’à 3/4 heures du matin.

L’école était divisée en deux : au 34 l’École d’architecture et au 30 l’École des Beaux-arts. En première année on prenait que 42 étudiants et maintenant on en prend plus de 90, 100. D’ailleurs quand on a pu récupérer la partie École d’architecture, l’école s’est sérieusement agrandi, il y a eu beaucoup de travaux de fait à cette période là parce que même si c’était une école d’architecture il y avait des choses qui n’étaient pas aux normes. Des salles étaient faites en tubulures, ce qui était formellement interdit et puis les escaliers étaient pas énorme. On commençait à parlait de la sécurité…

Antoine : Et c’était quand ça ?

L. : Je peux pas te dire exactement… Mais je pense que ça a dû ce faire à peu près cinq, six ans après que J. Sauvageot soit arrivé ici.

L’évolution de l’école a été énorme au point de vue du matériel quand J. Sauvageot est arrivé. Matériel informatique, vidéo, photo. Je crois qu’ils tournaient avec trois cameras, deux V5000 et une v6000 qu’ils prêtaient et puis 4, 5 appareils photos…
Et nous on a plus que triplé le matériel. Les ordinateurs, il y en avait deux au départ, et il y avait 80 ordinateurs après que le secteur informatique ait été installé.
Parce que les secteurs informatique et vidéo étaient des greniers, à l’heure actuelle tous les secteurs sont utilisés.

Moi j’ai connu le secrétariat avec des machines à écrire, il avait une machine qui servait à faire des photocopies… avec une manivelle et ils faisaient des photocopies comme ça… une rotative, c’était une rotative à main.

Durant-Henriot, il faisait parti de la vieille école, il y avait une rigueur dans l’école c’était très dur, l’école n’était ouverte à personne parce que c’était son école point final. Il n’y avait pas d’expo, dès lors qu’il y eu des expositions automatiquement il y avait du public qui rentrait dans l’école. Pour parler de la bibliothèque parce qu’il en est question à l’heure actuelle du changement de la bibliothèque, les gens ne consultaient que les bouquins sur place, elle n’était même pas ouverte au public, maintenant il y a des jours pour que les gens de l’extérieur puissent consulter, en plus de ça les étudiants ont le droit d’emmener des bouquins chez eux, ce qui n’existait pas auparavant.

A. : Les ateliers fer, modelage tout ça date de quand ?

L. : L’atelier fer a toujours existé, l’atelier terre/modelage était à la place de la menuiserie et la menuiserie, elle, se trouvait à côté des WC à cette époque là. Mais tout ce secteur a été transformé et le couloir pour sortir dans le jardin derrière tout ce secteur à gauche (galerie étudiante) était la gravure. L’emplacement du bureau de l’ancien directeur c’est juste où il y a les bacs d’acides. Le placard qui se trouve à côté du système de ventilation, il y a un placard blanc à gauche qui existe toujours et ça faisait parti du bureau du directeur.
Le petit labo photo à toujours été là, la sérigraphie a augmenté de volume de 20, 30%.

A. : T’as déjà fait des fêtes quand l’école était vide ?
Lionel : J’ai fait une fois ou deux des repas dans le jardins de l’école, aux beaux jours (hahaha…). Mais pas souvent parce que comme on est souvent dans les lieux on a envie de sortir.
Nous ici on piétine, on peut pas dire qu’on marche, on va pas très loin, donc on marche le week-end…
J’aime bien les expos photos, parfois on va au triangle. C’est des trucs que je ferais plus facilement après en retraite, on a le temps, on est pas à une heure près.
On est dans un système où on ne trouve pas tellement de temps libre.
Nous on a toujours une pensée pour l’école on vit dans l’école.
Et comme je dis ça, je pense à J. Sauvageot, il vivait que pour l’école. Il passait son temps à l’école. Il pensait qu’a l’école. Il venait bosser par exemple le samedi matin jusqu’à 11 heures ou midi et puis il revenait le dimanche soir pour bosser de 6 heures jusqu’à 8h, c’était sa vie. L’ancien directeur Durant-Henriot, à 6 heures il se barrait, mais lui il était impossible Sauvageot, il partait qu’à 8 heures et demi le soir.

A. : Après tu vas rester a Rennes ?

L. : Je vais pas rester à Rennes, parce que y’en a mare de Rennes. […]

A. : Tu crois que ça te manquer les étudiants après l’école ?

L. : Ca va me manquer, il va y avoir un passage quand même.
On est pas sans penser dans nos étudiants, j’veux dire quand on part l’été, on part quand même six semaines, on dit, tiens il manque quelque chose, il y a quelque chose à côté, il nous manque quelque chose quoi. Malgré le fait que je gueule et tout ça, tout le monde n’est pas désagréable. Il faut de tout pour faire monde, c’est ce qu’on dit quoi.
Antoine : du coup tu reviendras voir des expos peut-être ?

L. : Ici, je sais si il y en aura toujours.

A. : Ah bon

L. : Nan, ça je sais pas pas.
Peut-être qu’un jour il n’y en aura plus, c’est pas une obligation parce qu’il faut que des profs veulent bien les organiser. Si ils ne veulent plus le faire, il n’y en aura peut-être plus. Ce qu’il a Hardy quand il est arrivé c’est que ce n’est pas un musée ici, mais une école avant tout. C’est aussi pour ça qu’on a plus à travailler le samedi

A. : Donc avant tu travaillais le samedi ?

L. : Dans le temps on travaillait même le samedi après-midi, mais c’était différent on faisait que de la permanence.

A. : Qu’est ce que tu changerais dans l’école ?

L. : Je vois pas, je vis pas dans le milieu de l’enseignement, je vis dans le milieu des techniques.

A. : Oui mais justement dans ce milieu…

L. : Je vais être franc avec toi, on a travaillé en équipe ici auparavant, maintenant c’est chacun pour sa gueule, c’est chacun pour soit. Si le copain est emmerdé on s’en fout, du moment qu’on est pas emmerdé, c’est comme ça maintenant la mentalité des gens. À notre époque ça ne marchait pas comme ça, tout le monde se mettait d’accord.
(à Joëlle) Je suis là, je suis en train de faire une interview pour FR3

Joëlle : hein ?

A. : C’est moi FR3

L. : Nan c’est pour son truc […]
J’vais être clair là dessus, je trouve que les gens sont pas assez rigoureux dans ce qu’ils font. Ce que me disait Philippe Hardy et je suis un petit peu d’accord avec lui c’est que les gens sont perso ici, il s’en foutent du copain qui va emprunter le matériel après. Ils s’en foutent totalement… Aucune rigueur, moi j’ai instauré certaines choses pour pas embêter tout le monde, par exemple pour le prêt du matériel, pour le week-end, c’est indiqué : il est impératif de rendre le matériel le lundi midi. Pourquoi ? Parce qu’il y a des gens qui pourraient reparti avec à 14h… Je fais des fois des fleurs, les gens qui viennent le prendre le vendredi à 9h ou le jeudi soir. Comme dirait l’autre c’est plus une permission de 48h, c’est une permission de 96h. Je pense que les gens pourraient avoir un peu plus de rigueur et être un peu moins perso. […] Autrement si t’as pas de rigueur tu t’en fous, moi aussi je peut m’en foutre…

A. : OK… Il est 5h, merci beaucoup Lionel, c’est déjà pas mal !…

L. : Quand J. Sauvageot est arrivé ici, il a été très ouvert avec les étudiants, très très très ouvert… Il est pas toujours été comme il a été dernièrement, il a été con comme la lune mais enfin. Il y avait un tas de choses, il y avait des fêtes! Et puis finalement les fêtes ont mal tourné, il y a eu de la baguarre. La derrière des fêtes s’est terminée au Thabor, tout le monde était à poils dans les bassins, hahaha… Et puis il y a eu les histoires des vernissages, il y avait des kirs mais après les gens ramenaient leurs caisses de bière alors ça n’allait plus quoi. Il y eu un vernissage un jour dans le jardin où il y avait une œuvre d’installée avec en plus de ça les artistes qui étaient là et puis le mec ouvre la fenêtre, il met la musique à fond les manettes avec des bières à la main et tout le bordel. Alors là ça a fait déborder le vase comme dirait l’autre et c’est là qu’il a mis du jus de fruit.

A. : Mais là ça recommence un peu…

L. : Ça recommence oui, mais faut voir comment les gens vont être, tu peux boire un petit coup sans en abuser… Un petit peu de rigueur, un tout petit peu…

Bon… Y’en assez là, J’en ai assez dit.

1 janvier 2012

Bonnes Errances 2012

Filed under: errances — tiry @ 13:05

13 décembre 2011

Histoires d’@rob@ses

Filed under: errances — tiry @ 11:55

@ : Son origine pourrait remonter aux moines copistes du Moyen-@ge. Pour gagner de la place et du temps, ils fusionnaient des lettres sur leurs manuscrits. Par exemple, ils mettaient une @ au lieu d’écrire ad qui veut dire « vers » ou « à » en latin. Mais les manuscrits avec des @ restent rares. Autre hypothèse, peut-être que le mot arabe arba’a (quatre), dont découle l’unité ibérique arroba (12 kg environ) a été symbolisée par @ ? Quoi qu’il en soit, l’inventeur de la messagerie via internet, en 1972, décide d’utiliser @ dans les adresses de messageries. Il se met entre le destinataire et sa boite aux lettres, renouant avec le sens du ad latin.
Ouest-France 12/12/2011

10 décembre 2011

Le Haret québécois et d’autres histoires d’Anna Boulanger

Filed under: errances — tiry @ 16:00

Anna est une ancienne étudiante de l’option et de l’atelier diplômée en 2007.
Elle vient d’obtenir le coup de cœur du jury du 27ème salon du livre jeunesse de Montreuil pour son livre :
Le Haret québécois

Vous pouvez aussi l’écouter sur France Culture, une émission du 21 novembre 2011
pas la peine de crier

6 décembre 2011

Présentation de Pierrick Sorin par lui même.

Filed under: errances — tiry @ 19:06

je vous conseille vivement d’aller voir ce site Des jouets un sorin où pierrick Sorin dans le cadre de l’exposition « Des jouets et des hommes » au grand palais, présente …
Je n’ai pas encore vu l’exposition (dont Pierrick Sorin est directeur artistique) mais le site vaut vraiment la visite.

3 novembre 2011

nostalgie

Filed under: errances — tiry @ 19:12

de temps en temps, errances republiera un article, là il s’agit d’une publication de clément du 21 février 2008, il y avait juste le mot clic, je vous le conseille …et jouez
clic

26 septembre 2011

4000 articles sur errances

Filed under: errances — tiry @ 21:40

La 4000ème publication vient d’être faite sur errances.

8 juillet 2011

De la nécessité d’avoir un site

Filed under: errances — tiry @ 15:17

« il y a 10 ans, quand on montait une exposition, il fallait connaître beaucoup d’artistes, prendre rendez-vous avec eux pour qu’ils vous montrent leurs œuvres. Aujourd’hui, il suffit d’aller sur leur site. Nous les avons tous découverts ainsi. »

Clément Chéroux, conservateur et commissaire d’expositions (rencontres d’Arles)

26 mars 2011

comme disait Lacan

Filed under: errances — tiry @ 11:23

« je parle, après je pense. »
Ce n’est pas l’éloge du parler pour ne rien dire, mais le fait que parler permet d’élaborer la pensée.
Comme Errances

9 mars 2011

Antonio Lobo Antunes

Filed under: errances — tiry @ 11:28

Antonio Lobo Antunes

« Au début, je faisais des plans détaillés avant de commencer, mais maintenant non. Parce que ce n’est pas l’histoire qui m’intéresse. Pour contourner ma peur d’écrire, je me fixe une date où m’obliger à commencer un nouveau livre, et je m’y mets.
La première version du texte est longue et lente, je remplis des pages et des pages et des pages. Puis je travaille à partir de ce matériau, j’essaie de le structurer, de le vertébrer.
Mais dans cette seconde phase du processus, la partie créative du travail a déjà eu lieu, vous êtes plutôt comme un prof, en train de corriger un texte mal écrit. Et vous coupez, vous coupez, pour donner à tout cela une forme, peut-être un sens. »

Dans ce texte Antonio Lobo Antunes décrit bien les phases de création que nous proposons dans Errances.
• La nécessité des échéances et de la régularité du travail.
« il faut s’imposer de la discipline pour ne pas perdre la main. Alors quand j’écris, je travaille de 9h30 à 13h, puis de 14h30 à 20h, et encore le soir de 21h30 à 23h. Il faut démystifier l’écriture, c’est un vrai travail. Un plaisir et une corvée. Ecrire et écrire, jusqu’à ce que la main devienne autonome, avec la tête qui suit le mouvement. »
• Les deux phases successives de la création : une première phase de production brute, instinctive, abondante, presque forcée, puis une seconde qui structure, élague, complète, produit de la forme et du sens.

22 février 2011

La nouvelle interprétation des rêves

Filed under: errances — tiry @ 15:32

Pour tous ceux qui s’intéressent aux rêves, je vous conseille un livre qui vient de sortir, écrit par un ethnopsychiatre.
Tobie Nathan
La nouvelle interprétation des rêves
éditeur : odile Jacob
parution : janvier 2011

il est possible de podcaster ou de réécouter deux émissions sur France inter (lundi et mardi) ou il explique son livre et sa position. À écouter :
lien france inter

1 janvier 2011

2011

Filed under: errances — tiry @ 00:00

31 décembre 2010

faim d’errance

Filed under: errances — tiry @ 12:00

fin_errance_webf

2 décembre 2010

étrange invasion à saint-brieuc

Filed under: errances — tiry @ 19:17

bon_neige1
bon_neige2
bon_neige3

27 novembre 2010

toujours plus de 200 visites par jour sur Errances

Filed under: errances — tiry @ 18:28

textedescriptif

30 octobre 2010

Jubal Brown

Filed under: errances — tiry @ 10:53

article complet sur le site télérama

“Je veux faire des vidéos toujours plus violentes”
Le grand, élégant et très sophistiqué Jubal Brown – on dirait un peu le fils de John Waters et de Klaus Nomi – vient de Toronto. Ses films sont de véritables attaques visuelles (comme ce Total war), les plus violentes et les plus rapidement rythmées qu’il nous ait jamais été donné de voir. Des boucles d’images issues d’un flux télévisuel, souvent altérées, se mélangent continuellement pour créer une étrange et nouvelle œuvre…
Comment réalisez-vous vos films ?
Je travaille uniquement avec le logiciel Final Cut que j’utilise comme un sampler. La plupart du temps, le son – un coup de feu, un cri, une explosion… – est celui de l’image. Il m’arrive, mais plus rarement, de croiser les pistes audio et vidéo avec d’autres sources. J’essaye d’être comme un DJ qui joue des disques : je mixe des BPM, de l’énergie et des cinématiques.

12 octobre 2010

Mœbius et errances

Filed under: errances — tiry @ 14:54

Hasard animal
Ce dessin est issu d’un petit carnet que ma maison d’édition (Mœbius production) va bientôt publier.
Ce travail part d’un postulat selon lequel le geste inconscient participe de la création. Le jeu consiste à prendre une plume et à jeter sur une feuille des traits nettoyés de toute intention, en essayant le plus sincèrement possible de n’avoir aucun but.
(…)
Ce n’est qu’ensuite que je reprends ma raison, et mon savoir-faire, pour tirer une forme de ces lignes.

Mœbius.

moebius_la_faune_de_mars

10 octobre 2010

citation

Filed under: errances — tiry @ 22:29

au mois de novembre 2009, un errant de « passages » publiait, je cite

Ya des trucs vraiment très bien sur ce blog!!

si vous cherchez vous trouverez vers la fin du mois de novembre 2009

en regardant vos publications de ces derniers jours, je me dis qu’il avait et qu’il a vraiment raison.

Ya des trucs vraiment très bien sur ce site !!

au fait cet article est le 3012 ème, qui a écrit le 3000 ème ? et qu’a t’il gagné ?

7 octobre 2010

couverture de télérama

Filed under: errances — tiry @ 11:25

telerama

et oui !
cette couverture m’a fait penser à un travail d’onuki

26 septembre 2010

Charmilles

Filed under: errances — tiry @ 11:44

Une charmille est une allée (éventuellement couverte) ou une forte haie taillée constituée de charmes. (les errants ?)

charmilles

pour votre culture (wikipédia)
Les charmilles ont souvent la caractéristique de ne pas être dégarnies en hiver, grâce au caractère marcescent du feuillage du charme.

Du point de vue de l’agriculture et de l’écologie, une propriété intéressante de la charmille est d’attirer des colonies entières de mésanges, qui débarrassent les cultures de leurs insectes parasites.

Une des charmilles les plus remarquables d’Europe, la charmille du Haut-Maret, se trouve à La Reid (commune de Theux) en Belgique. Créée en 1895 et aujourd’hui classée, elle est constituée de 4 700 plants incurvés en un véritable tunnel végétal long de 573 mètres. (photo)

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