16 mars 2008
15 mars 2008
14 mars 2008
[du chocolat à 4h23]
[…]
[du nutella]
[ok… mais t’as déjà un bouton…]
[bon, vas-y]
[du nutella]
[mais, tu l’as déjà mangé ce matin]
[fin, fais ce que tu veux]
[…]
[j’ai rien mangé ce midi]
[…]
[je me suis fait un chocolat chaud cet-après-midi]
[…t’auras plein de bouton]
[j’ai rien mangé aujourd’hui]
[j’ai faim]
[…]
[j’ai très faim]
[…]
[je me sens faible]
[…]
[mmm…du nutella]
[mais t’as déjà mangé deux fois chocolat aujourd’hui]
[non; on mange pas de chocolat à mi-nuit]
[ouin…]
[…]
[zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz]
[zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz]
[zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz]
[mmm…je v/e/u/x…du chocolat!…@!^$#^$!#$#@!^$&^…miam!]
[zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz]
[?…]
[…]
13 mars 2008
Les goûts et les couleurs >>> ça se dissss…
« »De la beauté on n’en dispute pas mais on en discute » »
Kant.
« »Ici apparaît un privilège de la rêverie poétique. Il semble
qu’en rêvant dans une telle solitude nous ne puissions toucher
qu’un monde si singulier qu’il est étranger à tout autre rêveur.
Mais l’isolement n’est pas si grand et les rêveries les plus profondes,
les plus particulières sont le plus souvent communicables.
…
Ils nous offrent leurs images psychotropes par lesquelles
nous animons un onirisme éveillé. » »
Gaston Bachelard.
Effervescence magique >>>>>
« L’être du rêveur de rêverie se constitue par les images qu’il suscite.
l’image nous réveille de notre torpeur et notre réveille s’annonce en
un cogito. Une valorisation de plus et nous voici en présence de la
rêverie positive, d’une rêverie qui produit, d’une rêverie qui, quelle
que soit la faiblesse de ce qu’elle produit, peut bien être dénommée
rêverie poétique. »
Gaston Bachelard.
12 mars 2008
Absolue liberté >>>
« »La rêverie va naître naturellement, dans une prise de conscience sans tension,
dans un cogito facile, donnant des certitudes d’être à l’occasion d’une image qui plaît –
une image qui nous plaît parce que nous venons de la créer, en dehors de toute responsabilité,
dans l’absolue liberté de la rêverie. » »
Gaston Bachelard.