30 avril 2008
29 avril 2008
Paranoid park
“I stared out the window. I imagined riding to the police station, my hands cuffed behind my back. That would be fine with me. It really would. I was done. There was no point now. My life sucked so much, I might as well get caught.”
G.W
Rebecca: This is so bad it’s almost good.
Enid: This is so bad it’s gone past good and back to bad again.
Graduation Speaker: High school is like the training wheels for the bicycle of real life. It is a time for young people to explore different fields of interest and to hopefully learn from their experiences. In coming to terms with my own personal setback, I’ve learned that I don’t need to rely on drugs and alcohol, and that I’m very lucky that more people besides myself and Carrie weren’t injured in the accident. And I’ve learned that to overcome life’s obstacles you need faith, hope and, above all, a sense of humor.
kids
Telly: When you’re young, not much matters. When you find something that you care about, then that’s all you got. When you go to sleep at night you dream of pussy. When you wake up it’s the same thing. It’s there in your face. You can’t escape it. Sometimes when you’re young the only place to go is inside. That’s just it – fucking is what I love. Take that away from me and I really got nothing.
Eeney… Meeney… Meiny… Moe… Catch a… Tiger… By its… Toe …
eeney meeney miney moe
catch a tiger by its toe
if he hollers let him go
eeney meeney miney moe
it was spectacular
Lester Burnham: So, Janie, how was school?
Jane Burnham: It was okay.
Lester Burnham: Just okay?
Jane Burnham: No, Dad, it was spectacular.
Beauty again.
Ricky Fitts: It was one of those days when it’s a minute away from snowing and there’s this electricity in the air, you can almost hear it. And this bag was, like, dancing with me. Like a little kid begging me to play with it. For fifteen minutes. And that’s the day I knew there was this entire life behind things, and… this incredibly benevolent force, that wanted me to know there was no reason to be afraid, ever. Video’s a poor excuse, I know. But it helps me remember… and I need to remember… Sometimes there’s so much beauty in the world I feel like I can’t take it, like my heart’s going to cave in.
28 avril 2008
Essais typo
Je patine un peu, pour trouver une belle maniere d’écrire « JNUR ».
Oui, donc « JNUR », est un projet de site internet. On y trouvera une ville imaginaire intégrée dans une interface interactive de type « Google map », dans laquelle on pourra s’y promener, découvrir de petites histoires de la ville. Ensuite, on pourra « habiter » cette ville.
Comment faire?
En nommant les rues.
Nommer une rue est ici un acte d’écriture. Acte spontané ou réléchi.
C’est simple et cela peut être très varié.
Traditionnellement, on trouve des noms de lieux, de personnes ou d’événements, qui font la mémoire et les valeurs d’une communauté. « Chaque ville défend, par ses plaques, l’image qu’elle donne d’elle-même et la plupart du temps ses habitants soutiennent cette image ».(voir odonymie)
A JNUR nous inventons une Odonymie plus directe.
Le choix du nom de la rue, de l’impasse, du quais, du square, ne dépend que de nous,
il peut autant témoigner de l’amour que l’on a pour tel auteur, du plaisir que l’on a eu en tel endroit, de la haine que l’on a pour les épinards, ou de la dernière action quotidiennement anecdotique que l’on vient de faire.
En y laissant ce choix, on donne à cette ville un peu de nous.
Bon alors ce logo….
Il y a le style « linéale graphisée », pour le coté « modernisme géomètrique »
Et le style « plaque de rue » avec un leger côté « disneyland ».
les ligatures renforce l’idée d’écriture..
mettre_la_table
mettre la table
prendre la porte
c’est la porte ouverte
à toutes les fenêtres
27 avril 2008
26 avril 2008
étrangerie_bizarroïde
– » Moi, j’ai dit bizarre, bizarre, comme c’est étrange ! Pourquoi aurais je dit bizarre, bizarre ?
– Je vous assure mon cher cousin, que vous avez dit bizarre, bizarre.
– Moi, j’ai dit bizarre, comme c’est bizarre ! »
extrait dialogue avec Louis Jouvet dans Drôle de Drame de Marcel Carné, 1937
c’était étrange
t’étais étrange
c’était étrange que tu sois étrange
c’était étrange que tu sois comme un étranger
c’était étrange que je sache que comment tu me regardais
comme un étranger
c’était étrange que je pense que quel étrange que tu me regardes
comme un étranger
c’était étrange
le regard étrange qui venait de toi
était tout froid tout étrange
sans fait exprès
mon cœur est fané tout un coup le tout étrange
sans l’attendais
mon corps est éparpillé étrangement
comme des feuilles étranges
je souffrais mille morts étrangement
tu n’es plus là
t’as disparu furtivement
sans aucun bruit
étrangement
25 avril 2008
minute_cocotte
youpi_c’est_vendredi_
c’est_soupe_aux_salsifis_
c’est_bon_la_soupe_aux_Tragopogon_porrifolius_
24 avril 2008
suivez_mon_doigt_03
à_dada_sur_mon_cheval_blanc_d’henryIV
extrait visuel de ABCD, Raoul Hausmann, 1923-1924