11 octobre 2010
10 octobre 2010
citation
au mois de novembre 2009, un errant de « passages » publiait, je cite
Ya des trucs vraiment très bien sur ce blog!!
si vous cherchez vous trouverez vers la fin du mois de novembre 2009
en regardant vos publications de ces derniers jours, je me dis qu’il avait et qu’il a vraiment raison.
Ya des trucs vraiment très bien sur ce site !!
au fait cet article est le 3012 ème, qui a écrit le 3000 ème ? et qu’a t’il gagné ?
J’aime le mot orteil
« En m’éloignant du chemin, j’ai aperçu des jambes, étendues sur l’autre rive. Elles trempaient dans l’eau. Les orteils effleuraient la surface. Il faisait bon mais la rivière devait être froide à cette période de l’année.
Petite, j’aimais l’eau. Froide, chaude, tiède, salée, chloré, savonneuse. Au premier dimanche ensoleillé, en avril, on allait manger près d’un lac et je me baignais. J’aimais ressentir le frisson, et les ronds qui entouraient et anesthésiaient mes jambes. Je me sentais héroïque d’être la seule parmi tous à oser endurer ce froid glacial. Je me moquais d’eux. Les vieux, les pas drôles, ils avaient peur. Aujourd’hui j’ai compris que cette fierté de nageuse nordique ne vaut peut être pas le coup. Le risque de ne plus sentir ses jambes et de perdre l’usage de ses orteils est un peu effrayant. Alors, même avec du soleil, c’est une drôle d’idée de tremper ses pieds dans la Villaine à cette époque.
Cela dit, je n’ai pas vérifié que ces jambes étaient rattachées à leur propriétaire. »
9 octobre 2010
Tout se voit à l’œil nu
L’inconscient délavé
Les rapports limites
à ces fleurs plastifiées
Déjeuner du dimanche
Le bitume a craché
un soleil métallique
Réservoir d’oxygène,
Je calcule, système D
L’imparfait subjectif
sous très haute surveillance
Tout est impardonnable
Doliprane au cas où
On tourne hybrides
Le cendrier en feu
Envie désenchantée
d’odyssée côté X
Écoper l’inutile
Une bulle en acier
Je transfère en sourdine
Mais qui ferme les yeux
sur ces rêves faciles
négligemment parqués
Vision polaroid
décapée à l’acide
8 octobre 2010
Sainte Autorité-Parentale
Réflexion sattoufienne et tirée de faits réels.
Gare d’Épinay Villetaneuse.
grand-père_3
Nuit de noce
La première solution, la plus couramment envisagée, est le déboucheur chimique. Ils existent sous différentes formes : liquide, solide ou en gel.
Il suffit de verser la juste quantité de produit et celui-ci va éliminer les impuretés. Il suffira alors de rincer en faisant couler de l’eau.
Cette solution est très simple et très rapide, mais faites attention car ce sont des produits très toxiques et ils peuvent endommager les canalisations. Lisez donc très attentivement le mode d’emploi, et prenez toutes les précautions qui s’imposent en portant des gants pour éviter les brûlures.
Si la solution chimique ne vient pas à bout du bouchon, essayez la ventouse.
Le mari sage est celui qui évite toute brutalité et ne se précipite pas. Les longues et belles galanteries dissipent toute difficulté. Quoi de plus beau que des paroles douces et envoûtantes de la part du mari, l’accueillant avec une telle galanterie et un coeur si tendre. La précipitation ne peut que causer la rupture du lien, car si l’homme attend et patiente, sa jeune femme aura le temps de se calmer, d’accepter et d’être heureuse.