Fille de Phorcys et de Céto, elle est une belle jeune fille dont Poséidon s’éprend3 . Séduite par le dieu dans un temple dédié à Athéna, elle est punie par la déesse qui la transforme en Gorgone. Ses cheveux deviennent des serpents et désormais son regard pétrifie tous ceux qui le croisent.
Errances, c’est fini. Du moins ici, puisque mon cerveau ne vas plus être tellement disponible maintenant. Cependant je vais poster de temps en temps sur mon blog perso : cliquez-moi !
Pot de départ de Mr. Touchard ancien prof de musique du collège. Il a fait son pot de départ sous forme de spectacle. Dix générations d’élèves sont venus lui rendre hommage. Le blues de l’institeur s’est exprimé à l’oral.
La cités Pasteur est en train d’être repeinte, ça claque, ça sent la fraîcheur.Par contre au loin ya des cités auxquelles on touche pas. Les tilleuls sont là, font profil bas.
Concours de caissons de basses ouvert
Les mecs en décapotable sont là ils prennent
Ils friment quotidiennement dans la cité
Accélération branchée, flâner dans le dernier modèle d’audi TT
Retour du 77, j’aime rentrer chez moi dans ma banlieue. Là où il y a les portes, les bancs, les lieux typiques où on squatte, traine, discute, fume, boit, s’égare…
Exposition « DÉRIVE(S) »
THOMAS CARTRON – FLORIANE DAVIN
Du 21 au 25 mars 2011
Galerie des étudiants de l’école régionale des beaux-arts de rennes. Vernissage le lundi 21 mars, 18h30.
Exposition « Intérieur fixe »
Du 24 mars au 21 avril
Galerie Chambre claire (bâtiment de la Présidence, Université Rennes 2)
Dans le cadre de la manifestation « Sténopé, un procédé photographique. Le Monde par le trou d’une aiguille. » Vernissage le jeudi 24 mars, 18h00.
J’ai appris comme nous tous les règles de grammaire, sur mon banc d’école primaire, en polycopiés-découpés-collés avec la date du jour dans le cahier au protége-cahier orange. Il y a les règles des accents «graves» et «aigus».C’est comme ça et pas autrement. Je les ai oublié, on m’a rappelé à l’ordre, on m’a crié dessus, on m’a rayé en rouge mes accents, et gribouillé mes chiffres à l’envers… On m’a dit que je n’entendais que ce que je voulais. «Combien de fois je te l’ai dit, les cygnes n’aiment pas les raies!»…Bon, au bout d’un matraquage de vingt-deux ans, c’est acquis. Et ça ne changera probablement jamais. Les cygnes n’aiment pas les raies, et j’ai intérêt de m’en souvenir, car sans ça je passerai pour une inculte pour le reste de ma vie. Aujourd’hui je fais mes accents dans le bon sens (enfin surtout les circonflexes) et je ne fais plus mes chiffres à l’envers (si je ne réfléchis pas). Je n’ai jamais demandé de preuves que c’était moi qui me trompais ou si c’était les autres. C’est peut être eux qui étaient dislexiques après tout.
Je me suis dis ça pour le première fois à onze ans, le jour ou moi et ma classe étions parti voir une exposition sur Brest au temps de l’académie de Marine, au XVIII éme siécle. On nous y montra des cartes de l’époque. Personne n’avait reconnu la pointe bretonne, sauf moi. À l’époque, la convention Nord en haut et Sud en bas n’existait pas encore. Alors je me suis dit qu’on me faisait vraiment une crise pour rien, pour ces foutus accents…
Et j’ai aussi compris que le sens devrait s’écrire S.E.N.E.S, comme KAYAK… (dans les deux sens pareil), et que le pourquoi n’a qu’une réponse : le «parce que».
Donc on m’avait attribué depuis mes cinq ans « un manque de maturité » pour des chiffres à l’envers, mais pendant 1800 ans on a fait des cartes dans le mauvais sens ! Une injustice, en somme.
Aujourd’hui je suis rentrée dans le moule. Mais pour ne pas donner raison à tous mes maîtres, je continuerai à glisser une «faute» ou deux ici et là.
A l’âge de 7 ans, chaque mardi et vendredi, ma mère m’accompagnait à l’espace jeunesse (长沙市青少年) avec son vélo rouge pour que j’y suive des cours de dessin. C’était dans une petite ruelle, parfois, pendant les cours, les parents pouvaient s’asseoir au fond de la classe. Ils observaient leur enfant et discutaient entre eux en même temps. A l’âge de 9 ans, j’ai continué les cours avec un autre professeur. Depuis, Je n’ai emprunté cette ruelle que très rarement. Aujourd’hui elle n’existe plus.