Bonhomme qui déambule avec une attitude accompagnant ses habits, d’actes et coutumes.
7 mars 2011
La magie d’internet
Je viens de faire une découverte fabuleuse en traduisant dans le sens inverse le résultat d’une traduction Google. On nous manipule !
Je me souviens…
Le magasin pour les enfants qui était situé aux 15 rue du Wu Yi, dans un bâtiment rouge et jaune qui me faisait penser à ce que l’on voit dans les contes.
6 mars 2011
Dérives en banc-lieue
Ceux qui demeure dans cette agglomération où ils ne devaient que séjourner
Ceux qui ont oublier au autre endroit où s’installer
Je me souviens…
Les gâteaux de Jiu Ru Zhai (九如斋), j’adore les gâteaux au soja vert et carré. Sur la surface, on trouve des messages de bonheur. Ils ne sont pas très sucrés. j’en achetais souvent quand je passais devant cette boutique.
5 mars 2011
Dérives en banc-lieue
banlieue, agglomération, banlieusarde, habitation, habiter, lieu, séjour, maison, logis, demeure, endroit, installer, demeurer, séjourner, vivre, espace, espace, situation, qualités, portions, délimitée, fait, action, activité, évènement, temps, imagination.
4 mars 2011
Dérives en banc-lieue
Trajet imaginaire.
Assis à son bureau
3 minutes de marche en direction du métro
Assis dans le métro
Escaliers
Couloirs
Assis sur le quai
Assis dans le RER
Ascenseur
Assis dans le bus
Escaliers
Assis dans le fauteuil
Coucher dans le lit
3 mars 2011
La solitude absolue
J’ai enfin touche la lointaine extrémité
De l’éternel auquel je pensais.
A cette extrémité je me frotte les yeux,
Et m’éveille d’un long sommeil.
Au bout de mes doigts qui les touchent,
Les étoiles éternelles s’éparpillent en perdant leur lumière.
Au bout de mes doigts, en revanche,
Je sens de nouveau une douce chaleur physique
D’autant plus approcher de moi.
Avec cette chaleur physique,
J’embrasse, solitaire, mon éternel qui finit à moi.
Et je laisse tomber du bout de mes doigts,
Comme de la poussière, maintenant,
Mon langage aile, doublé de mon beau rêve,
Caressa le bel éternel qui finit à moi,
Moi qui ne peux aller plus loin,
Avec mes mains couvertes de rides,
Du bout de mes doigts
Je ferme enfin ma bouche, avec ma poésie
poème de Hyeonseung Kim
Dérives en banc-lieue
Ouverture de l’ascenseur les moutons s’agglutine autour. Prendre l’escalator est has-been. Mieux vaut perdre 5 minutes à attendre son tour de monter. Les escaliers j’en parle pas.
2 mars 2011
Fenêtre
Et la joie de vivre
Nous sera la nouvelle du jour
Des yeux clairs, ce sont cœurs lumineux
Dans l’attente de lendemains …
poème de Hyeonseung Kim