J’ADORE LES CHEMINEES
ON NE SAIT JAMAIS CE QUI PEUT ARRIVER DANS UNE CHEMINEE
#Marypoppins
nous nous confortons dans notre conformisme et nous sommes convaincus par notre contentement
En octobre 1974 Georges Perec s’est installé pendant trois jours consécutifs place Saint-Sulpice à Paris. À différents moments de la journée, il a noté ce qu’il voyait : les événements ordinaires de la rue, les gens, véhicules, animaux, nuages et le passage du temps. Des listes. Les faits insignifiants de la vie quotidienne. Rien, ou presque rien. Mais un regard, une perception humaine, unique, vibrante, impressionniste, variable, comme celle de Monet devant la cathédrale de Rouen. Les mille petits détails inaperçus qui font la vie d’une grande cité – d’un quartier dans une grande cité. Les innombrables variations imperceptibles du temps, de la lumière, du décor, du vivant. Autobus, chiens, passants, touristes. «Ce qui se passe quand il ne se passe rien, sinon du temps, des gens, des voitures et des nuages.»
Trouver le lien manquant.
Souffler le vide ambiant.
Briser les non-dits troublants.
Manger des haricots blancs
« J’ai remarqué que, plus on est envahit par le doute, plus on s’attache à une fausse lucidité d’esprit avec l’espoir d’éclaircir par le raisonnement ce que le sentiment a rendu trop obscur. »
Camille dans Le Mépris
Je ne sais plus. Il y a bien quelques fois où j’ai l’impression de cerner ma personnalité et mes goûts, mais je partage bien plus souvent l’expérience de l’Errance.
J’ai pour unique certitude l’amour que je voue à mon compagnon; mais je ne peux visiblement pas faire mes écrits et baser tout mon travail sur ça.
Ah ahhhh. Ce mec en combi réfléchissante jaune; mon Dieu, comment il était mmm… beau.
Le bus ayant 10 mins de retard, passe en vitesse à côté de ces travailleurs… de CE TRAVAILLEUR.
La cigarette à la bouche, elle tenait entre ces deux lèvres, on voyait un ptit sourir, une petite ride derrière sa fossette charmantt. Une barbe pas trop grande ni trop petite juste parfaite, les yeux noir je dirais… ah manifique ahh…. je pense repasser là bas à midi juste pour admirer ce personnage.
J’espère que je rèverai de lui ce soir.
Ce matin fallais que je me reveille à 7h47 au lieu de 7h40. Déjà 7 mins de retard. Et jsui sortie du lit a 7h50. Donc 10 mins de retard. Donc je décide de faire tout vite pour avoir le bus de 8h28.
J’essaye d’aller vite. Jme suis habillée en pissant et j’ai rangé mes affaires en buvant mon nesquick. Opperation optimisation moyenne.
Après avoir finis, je regarde l’appli star, je vois que mon bus arrivais dans 11mins; cool, jsui bien dans les temps; il me reste 4 mins pour mettre mes chaussettes et chaussure et manteau+ écharpe, je mettrai mes cheveux en désordre dans l’ascenseur (oui, moi je les ébouriffent au lieu de brosser). Donc tout est bien, jsui sortie 7mins à l’avance de chez moi. J’arrive a mon arrêt 3 mins à l’avance comme d’hab. Je commence à attendre (pcq ceci est une action, oui). Et c’est que je me rend compte que je regardais depuis toute à l’heure le mauvais sens du bus. Et que mon bus arrive dans 11mins .
J’ai donc tout fais en 26 mins, (incluant 4 mins de marche et « 3 mins » d’avance au bus) c’est quand même rapide ça. Pour au final attendre mon bus alors qu’il caille 11 mins. Mais lui décide d’avoir en plus 10 mins de retard. Donc j’ai attendue le bus de 8h16 jusqu’a 8h38. Sympa. Et là, j’ai les orteils congelés, et j’aime pas ça.
comme vous l’avez dit ce matin,
on n’a pas assez de recul quand ça nous plait
merci d’avoir ravivé le feu
ps : merci d’avoir surnoté, avec mon 16 je me sens moins idiote
Last week i said I was over you. I said, I’m sick of crying for you. I said I’m so done with wishing you were still here.
And for some reason i just can’t get over us. The idea of you is destroying me.
Leave me alone, stupid love songs. Don’t make me think about his smile and his eyes.
Errances,
Cela fait quelques temps que je ne fais plus attention à toi.
Mes efforts ne se sentent pas. Je déambule peu, je me presse.
Pourtant, j’ai bien trouvé un beau verre de lunettes de Soleil l’autre jour, il réfléchissait, alors je l’ai pris mais ce n’est point suffisant à mes yeux. Tu ne mérites pas si peu.
Je boite. Je penche du côté gauche, la jambe droite me fait défaut quand je me hâte trop.
J’accuse le manque de Soleil. Ce petit ******* se fait attendre. Ces dernières semaines, je l’ai seulement aperçu trois minutes derrière ma fenêtre. C’est trop peu. Suis-je la seule à ne vivre qu’en été?
Errances, Errances… Tu me rends mélancolique mais sache que je ne t’oublies pas.
Je pense à toi dans mes rêves et espère te retrouver bientôt.
Tendrement,
ta Pâquerette.
Ça me rend triste de nous voir comme ça. Ça me rend triste de penser au 9ans. Ça me rend triste de nous sentir si loin. Ça me rend triste de voir que je ne suis plus là. Ça me rend triste de voir que tu n’es plus là. Ça me rend triste de pas te parler toutes les heures. Ça me rend triste de pas t’avoir et te garder. Ça me rend triste de pas t’embrasser. Ça me rend triste de voir qu’elle prend ma place. Ça me rend triste d’entendre parler de toi. Ça me rend triste de pas pouvoir demander si tout vas bien. Ca me rend triste d’embrasser un autre.
Ça me rend triste tout ça.
Regardez juste comment certains mec regardent les filles dans la rue.
Suis-je le seul à préférer la police du traitement de texte style Time New Roman que nous avons avant de publier et avant qu’elle se transforme sur le site ? (ça ne veut rien dire j’ai l’impression)
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