j’ai dansé avec une grosse fleur bleue
toujours en écoutant tina arena
TV Éric TV début orchestre CCTV cf venu un orchestre
I T I N E R A N C E
Dimanche 27 octobre
J’ai bu un diabolo banane kiwi, et apporté deux verres d’eaux. On m’a gentillement offert de croquer dans une fougasse au chorizo. Après y avoir gouté et discuté longuement de l’avenir, j’ai décidé que rester à un café sans consommer, c’était plutôt impoli.
Alors on est parti.
Une expo avec des vidéos attendrissantes de mamies qui chantent des chansons rustiques avait lieu. J’ai beaucoup souris.
J’ai joué au qui est ce dans un restaurant, vers 17h. J’ai perdu. Les deux fois.
Une fois chez moi j’ai allumé les guirlandes, j’ai lancé la chanson « aimer jusqu’à l’impossible » de Tina Arena, et je me suis endormie sur mon synthé. Il était allumé, et en y posant ma tête, il a sifflé quelques notes.
C’était pas très beau
Calme vif
Proche du rivage
Précipitations de joie silencieuse
Doux cri
Quand tu t’approches
Doux cri
Quand je sens l’air condensé entre nos chairs
Alervie était à un concert.
C’était la fin, on lui a demandé de partir. Elle n’est pas partie. 10 min plus tard, elle buvait des coupes de champagne avec toute l’équipe technique. Alervie a été plus maligne que tout le monde, et elle a finit ronde comme une queue de pelle sans rien payer. Désobéir, c’est bien parfois.
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