25 novembre 2019
Je crois que j’aime pas l’école en faite
Une fois avoir lu deux trois trucs, on est au même endroit que tout le monde
Je vais sans doute arrêter ou commencer, tout dépend du point de vue
Bientôt je vais m’en aller ça sera une bonne occasion pour ne pas revenir.
Chez moi
Je vous invinte d’une paroisse de granite de de verre, eclairée a la bougie. Il vous faudra peut etre un temps pour vous acclimater a la penombre qui regne ici. Elle peut paraitre opaque mais en realite, elle se laisse percer par le regard ce celui qui entend le calme. Au delas des sens, la serenité prend racine. Il faut alors couler dans ses veines, sève épaisse et lente a la recherche du coeur chaud, au dela des sédimentations. L’architecture que vous pénétrez est l’organisme qui pousse de cet enchevêtrement de racines. Un exutoire pour l’ame.
Embrasser le regret. Autre expérience qui cri probablement « non » de tout son corps, mais après l’avoir fait on se rend compte qu’on y retournera pas, et c’est peut être nécessaire.
C’est un ultime essai pour la mer, on sait que non mais peut être que oui finalement, on a envie d’être emportés dans un gros tsunami. Mais du coup non. Après réflexion aucune catastrophe naturelle ne mérite d’être embrassée. Trop intense
Donc non c’est non.
L’amour au glacier
2 cuillères pour une glace
L’amour c’est vorace
Douceur qui coule
Dans leurs yeux
Amoureux
L’amour au fast food
Un menu à deux
Yeux dans les yeux
Croc simultané
Sandwich entamé..
Des deux cotés
« Je l’ai vue hier elle déambule
Avec ses airs de salope, elle souris
Elle les prends tous dans sa bulle
Elle les dévores, elle se gausse, elle ris
Sous son contrôle ils fabulent
Perdent la parole et entrent dans son lit »
24 novembre 2019
vogue vogue la galère
à tous les niveaux de toute ma vie je GALÈRE, tout est une épreuve et rien n’est simple, mais LAISSEZ-MOI s’il vous plaît ne serais-ce que faire mon linge sans encombres, ma mère me dit qu’au moins ce n’est jamais grave et que je ne m’ennuie pas alors, certes, mais c’est FATIGUANT cela dit je n’arrive pas à faire autrement donc j’avance à coup de soupirs et de « OH NON MAIS C’EST SÉRIEUX LÀ, VAS-Y ÇA ME GAVE » d’un ton monotone et blasé
petit dialogue
- "ok, là j'ai peur"
- " ... prends ton temps, respire un peu. Reste bien sur la gauche"
C’est à l’age de 3 mois quand j’ai commencé a marché que je me suis éteins. J’ai fait ce que le monde me demandais de faire, aller vers eux. N’étais-je pas mieux assis. Aujourd’hui mes jambes sont attrofié par la peur. J’en suis au stade de nourrisson. Cette fois ci je ne cris pas « Maman » mais intérrieurement je cris les gens. Regarder moi j’essaye de marché. L’assencion est aussi dure que la redescente. J’ai pris l’escalator de gauche.
ils sont déçus
Je viens de regarder trois films de Noël d’amour d’affilé mais nul mais nul, y a vraiment pas plus nul et j’ai adoré.
Toute mon adolescence j’ai regardé Star Wars, le Seigneur des Anneaux et Stargate SG1.
Je crois que Aragorn, Jack O’Neill et Maître Yoda m’en veulent, mais vraiment beaucoup.
23 novembre 2019
aujourd’hui
Aujourd’hui nous avons peint
et chanté
« la liberté c’est de pouvoir choisir »
blanc comme le ciel
sur un tissu plus bleu que la mer
KIDNAPPING + VENGEANCE MÉTÉOROLOGIQUE
Le 6 septembre 2006, Rodrigo Penalty, trompettiste vedette du club de truelles à ciment de Singapour, se fait kidnapper à son domicile par trois alligators et deux lecteurs VHS. Cette organisation à motivations crapuleuses sévit déjà depuis le coucher de soleil du 29 août 2006.
À l’aide de son fidèle acolyte Sergio Fakliskloöf qui s’était caché dans la poche pectorale de sa doudoune, Rodrigo parvient à s’échapper de ses malfaiteurs. En faisant des recherches au CDI, il découvre que l’organisation malveillante et le gouvernement sont de mèche. Quelle surprise.
La vie de Rodrigo n’est désormais animé que par son désir de vengeance. Il décide de prendre en otage le bleu du ciel car les trois alligators, les deux lecteurs VHS et le gouvernement déteste quand le ciel n’est pas bleu. Il se cache dans le Christ Rédempteur et exige une rançon de 10000 kayaks.
Le gouvernement ne cède pas à ce caprice et envoie son unité spéciale d’élite d’urgence bombarder Rodrigo à coups de bols pleins de flocons d’avoine.
Le bleu du ciel est sauvé et Rodrigo à tout ce qu’il mérite.
J’ai lu J’ai pleuré Je vais marcher
https://mailchi.mp/slate/il-se-passe-un-truc-533585?e=62e17911ef