Toujours
Je déraille complètement et j’ai toujours 5 ans.
J’ai peur, je maîtrise rien, je détruis tout, je t’aime pas.
J’ai grandi en me tuant.
Redonnez moi des petites roues s.v.p.
Je déraille complètement et j’ai toujours 5 ans.
J’ai peur, je maîtrise rien, je détruis tout, je t’aime pas.
J’ai grandi en me tuant.
Redonnez moi des petites roues s.v.p.
Chez mamane, c’est le bordel, les couverts teintent, les clients jubilent tellement l’agneau est bien cuit. Les grains de semoule ne se battent pas en duel, les légumes sont tendres et juteux. Mamane est un cuisinier généreux. C’est une ode au couscous et au tajine, mon ventre écrit.
je suis dans une voiture avec mes deux arrières-grands-mères,
thérèse et antoinette et moi, toutes les trois en robes rouges et bijoux d’or
je ne vois pas leurs visages mais elles sont jeunes
seules les mains sont très vieilles et douces, je les tiens dans les miennes
la voiture est pleine de fleurs
on roule vers le cimetière
(Brut)
Non! la bayonette au canon plutot !
Au plus profond, au plus sombre, et souvent seul je me retrouve face a un lmonstre. une faille behante, une plaie purulante qui saigne comme une artere sectionner. Le trouble simisse et viens si promptement qu’il claque toutes portes comme un courrant d’air. J’ai envie de concret. pas du vulgaire concret oproffesionel qui donne un sens. Non, j’ai envie de concret comme de roche, de pierre, d’elements. d’une saveur, d’une senteur ou d’une baffe dans la geule. Ce gout de fer dans la bouche. celui du sang rouge de violence. j’ai envie de me prendre un poing dans la geule! de recentir la violence, le gout du sang, le gout de la terre. j’ai envie de sexe. de sueur. chaude. froide. de renssentir la Chair, les muscles, les os. de se baigner dans un ocean, de courir jusqu’a l’essouflement. j’ai envie de casser les ecrans. j’ai la haine. la Haine profonde de se monde de drogue. d’ailleur je n’aime plus les drogues. ca embrume les espruts et nous noient dans la confusion; BRISER DES VITRES. surtout celles des ecrans. SURTIOUT CELLE DES ECRANS !!!!! j’ai envie de physique, de sentir le muscle, le soufle. les odeurs. d’enlmever se putain de masque. que je ne porterais plus d’ailleur
de se rencontrer, pas avec moi je sais qui je suis, mais de rencontrer les autres. de rencontrer la fougue ! je veut voir la frenesie des gens !!!! j’en ais marre d’ettre assie comme un con a regarder les gens s’ezndormir devant des cours monacale !!! putain lmais lerde que foutais vous !!! les gens se ramolisse, se momifie, se replie comme des limaces déssecher sur elle meme et leurs propre etre. A force de tapottement deserebrer sur des touche au texture de plastique. J’en ai marre du RVB sans texture, sans sensations, sans effors. marre des tapoteur, de se creser le cervaux. a rechercher des liens morts. Marres des images . constament presente, en mouvement. en prise direct avec votre cerveaux. La pire des drogue ! une drogue qu’on s’inject par plair de disparaitre dans une nuée d’infoirmation futiles. Marre d’etre a dispositon ou a porter de click, ou de tape pour les cellulaire. J’aimerais gouter au plair du labeur. de cette fatigue musculaire d’accomplissement et non de lacitude de tache a accomplir comme un vulgaire secretaire. L’art se mortifie ! de toute facon l’art nait de contraites et meurt de liberté. il ne reste que ca de la liberté. la possibilité de tout faire de tout apprendre !!! mais merde !!! oui avec un outils comme l’informatique on peut tout faire, on peut tout creer. mais on peut aussi tout perdre. la notion du temps, des réalités, des relations. Loin et le temps des annees charbon. du feux de bois qui odorise vos vetements. des lourd camion en taule massive et des crissements de pneus. MARRE de marcher sur une fade couche de beton. de suivre une signaletique. de devoir faire un putain de tcheck covid. MLarre d’entendre des connerie. de voir des imbeciles. jje pleure de voir des gens sans volonter, sans fougue sans ennergie, sans audace, je veut voir du culoter, du choquant, du bandant. du sexiste de l’anti gay de l,anti tout se que tu veux. je veux etre offusqué!!!!! ressentir autre chose qu’une banale sensation de renplissage de temps. J’ai envie d’utiliser la poudre, de tirer sur la gachette. de faire sortir le feu du dragon. de voir les douilles sur le sol et le bruit du 12mm me peter les oreilles. de me debouter l’epqule a chaque tir !!! peut importe la sible; Homme femme annimaux papier ou air. JE VEUT DE LA bestialités. DE L’ETAT PRIMAIRE; Sans filtres. Je ne crois pas au fautes d’orthographe. une langue ca s’entent ca se vit. Je ne croit pas en la politique, je ne croit pas a la bienpensance. SUrtout celle qui s’installe. Celle qui viens partout par n’importe qui, mes potes, ma copine ou mes amis. J’ai peur d’eux maintenant. perdant une réalité brut qu’ils ne veulent pas voir. sur le monde et l’histoire. sur le fait que les humains sont peu de chose. Que meme si on bousille tout notre petit monde n’est rien. que nous somme une fraction de seconde sur l’echelledu temps. Que oui c »st scandaleux de tuer tout sur nos traces mais que tout nous tuera. que nous foulon que trois kilometres sur lma surface et sous la surface de cette terre immense et que nous representons que 1 pour cent de tout. que les mouvelments plaque tecktonique c’est plus qu’une bombe. J’aime profondement le monde. les femmes. les hommes. je les respects. je deteste le sinisme. il anile toute vie. j’ai envie de voir encore la mort. elle qui se fait pudique devant nous. J,ai envie de rejopindre Dahesh pour defoncer du paria. J’ai envie d’etre pretre pour pouvoir croire en dieux. J’ai envie d’etre riche pour rouler en ferrari. J’ai envie de rouler a 300 KM/H;
(Oups je n’ai pas vu l’heure passer, j’étais dans la contemplation)
Dans un monde contemporain, L’Homme faibli. Amadouer par ce monde qui tourne plus vite que lui. Amener comme nourriture au temps infini sans pouvoir, sans défense. Alors pour vaincre la fatalité, L’Homme a créer les Machines. Par faiblesse ou désespoir nous ne savons plus, il s’abandonne sans protester devant des assemblage mécanique qui le dépasse. Le submerge. L’indépendance des hommes nus n’existent plus. Dans ce monde lache, des sauvageons on trouver une machine qui les dépassent tous. Un objet qui, une fois en main aboli toutes règles, toute perception du monde devient alors différente. Un passe droit à une liberté sans règles, sans contraintes. Un grain de sable qui crispe les engrenages infaillible des sociétés.
[…] Il était encore petit, assis, ses pieds ne touchaient pas le sol. Il avaient lu dans les livres, ceux accumulés dans le grenier chez son grand père, les récits du passé. Les contes sur les héros, les bêtes légendaires et les pays lointains remplis de trésors et de mystères. Lui aussi voulait en être un, pourfendre des monstres et voir ce que personne n’avait vu. Il s’était fabriqué un costume avec les vieux vêtements de son frère et partait souvent, des après-midis entiers, vers les bois, s’inventant des missions et des quêtes secrètes.
Le monde changeait et se tordait mais au fin fond de la campagne rien ne change vraiment. Seul les regards soucieux et les messes basses des adultes indiquaient les malheurs à venir. Mais quand on à 10 ans, tout ça, on ne le remarque pas […]
Le canidé féroce jonche le plancher,
Une épaisse muselière,
File la rame sous les voûtes en berceaux,
Une fine poussière,
Écarquillés qu’ils sont mes yeux,
Assomé par les panels des vieux.
L’hérésie semble être un prétexte, une simagrée afin de brûler des soit disant porteurs du diable. Seul la vengeance rende les sorciers et sorcières hérétique. Une vengeance qui prend sa genèse dans la colère injuste que des chasseurs porteurs de croix vouent à certains marginaux. À chercher des hérétiques on les trouve, on les créer…
Le serpent qui se mord la queue pensent être un faucon blanc. Le feu marche avec nous.
Nous vivons sur une île paradisiaque et attendons que notre volcan explose. Nous regarderons ce volcan exploser et nous consumer par une fascination morbide. Le volcan voulait juste se soulager des gènes que l’homme lui avait occasionnés. Il ne se doutait même pas que des gens le vénéraient et le haïraient. D’ailleurs, il se pensait seul jusqu’à ce qu’on vienne lui chatouiller les pieds. Encore un volcan chatouilleux…
Pratiquant les sorts obiens tant bien que mal
en orpailleur j’cherche l’aiguille d’or dans la botte de paille
envie d’paillettes mais on se retrouve tous philatélistes
athlètes en léchage de timbres, les soirs, en lice.
Témoins, polythéistes ou bien athées, abjurez l’règne des postiers.
La langue dépolie enfin s’délie par délices et liesses,
prise dans un délire pire qu’celui d’un gars priant l’retour d’sa maîtresse.
C’est sûrement la colle, mais j’sens la folie monter !
Souvent j’mens mieux qu’un arracheur de dent :
celui buvant sa liche d’alcool à deux doigts d’s’démonter
qui, l’artifice dévoilé, se consume en dedans.
En manque de songes, j’consomme occasionnellement :
contre monnaie d’singe, contacte le dealeur de limon
pour une dose du Marchand de sable, j’compte ses moutons,
Surveille le troupeau comme un berger fana d’psylos,
assis sur sa montagne en attendant d’trouver les mots.
Dyslexie inavouable, blèse le Montaigne, blesse de maux tendres.
j’voue un culte au Verbe déroutant…
j’avoue, inculte, c’est une verve dégoûtante.
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