Errances

20 novembre 2020

cambriolage

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Recette du soir

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Mon brownie est une soupe au chocolat.

Buvette

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L’éponge

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Encore dans ses pensées

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Amour pluriel, ou ode à la polygamie

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Je commence lentement à me faire à l’idée que l’intimité est une chose à laquelle je n’aurai accès que par l’étude et la représentation.

Les relations à deux pôles me font peur, les silences obligatoires que j’admire tant chez les Autres sont des lames au creux de mes paumes, le rire devient une performance.

De toute évidence je ne saurai qu’aimer de loin, je ne sais dire qu’à l’un que j’aime l’autre, et cela ne me va pas.

Alors il y aura l’un et l’autre à la fois, et j’aimerai les deux, les trois, les quatre, et on se passera le mot.

Je ne trouve plus les albums photos

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Se prélasse une silhouette androgyne
Abritée sous des linges, des feutrines
En talon et en tailleur rêvassant
Aux fugaces ailleurs d’un instant.

mot de passe

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( )

Le jour du diable

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Elle me suivait à travers les mers que je traversais sur ma planche. Je ne m’arrêtais pas d’escalader. Des calanques aux Pics enneigés je ne pouvais jamais m’arrêter, elle était toujours là à me guetter. Je continuait à espérer la distancer même en traversant les marécages et océans par bateaux. La vitesse que ma voiture tout terrain me procurait ne pouvait me sauver du sort qui m’était réservé. Elle me chassait nu toujours quelques part à attendre ce jour. Elle m’anéantira le jour diable.

Sécurité globale oblige…

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Le pouvoir de l’état s’arrête la où commence la liberté de ses citoyens.

Non au projet de lois « sécurité globale » qui interdit la diffusion d’images de policiers identifiables en action.

19 novembre 2020

Double page encore

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19 Novembre

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En ce moment je n’aime pas qui je suis,

Je n’aime pas ce que je fais,

D’ailleurs je ne fais rien

Je ne suis pas de ceux qui sont ce qu’ils sont

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Je veux dire, j’ai de ces amis qui sont et qui ont toujours été, sans vraiment le savoir, mais finalement toujours en pleine conscience de cette complaisance, comme une forme ronde que l’on remplirait soigneusement d’une encre opaque. Ils sont ces formes opaques, comme une évidence de l’être qui vous trouvera là où vous êtes au moment même où vous y êtes, avançant au même pas que la vie.

Ils apparaissent complets, connaissant chaque réplique de leur acte, laissez moi vous dire que là est la culminance de leur existence : la leur n’est pas un acte. Quand ils se rencontrent ils se savent comme ils savent que je ne suis pas tout à fait, alors je les regarde, j’ai la chance de les reconnaitre aussitôt, des oeuvres parfaites.

L’iris & la danse

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La devanture de l’Iris tapissier attire toujours mes yeux mais aujourd’hui plus que d’habitude.
J’admire au loin deux canapés, un rouge et un bleu mais ce qui m’attire le plus est le motif.
Au loin les motifs ressemblent à des personnes qui dansent.
Je me demande si les « personnes » à l’intérieur font la vague sur du Black Eyed Peas ou s’ils sont en transe sur le solo de guitare de Beat it.
Je les envie presque, danser me manque.

Incarner l’album de Juliette Armanet,
faire des ronds avec mon bassin sur du Yelle
ou faire le miroir avec ma partenaire de danse J.
me semble de beaux et lointains souvenirs.

Merci l’Iris Tapissier.

peur bleue

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Triste perspective – Sous les épaisses couvertures

Filed under: musardises — Étiquettes : — errant @ 21:53

Je veux juste m’en aller hiberner,

et me réveiller quand reviendra l’été.

CHAUD

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passisûr

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J’en suis pas si sûre

enfuie sans passif, en sueur,

j’enfile l’sens passé des cendres

enfle la suie passante au souffle

 

Une fuite censée sans sursis

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« est ce que une bronchite en italien ça se dit une bruschetta ? »

NON

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REPAS + SABOTAGE

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Le 11 août 2014, Héléna Pépite, âgé de quinze ans se retrouve seule à son domicile pour une semaine car ses parents sont partis en vacances sans elle. Ils ne l’ont pas emmené avec eux car elle avait mangé tous les cornichons et sa mère l’avait très mal pris. Elle est donc contrainte de devoir se faire à manger seule. Mais le réfrigérateur est vide et il est presque midi alors il faut vite qu’elle aille faire des courses.
Elle se rend au Carrefour le plus proche et choisi des carottes. Soudain, elle se rend compte qu’elle a faim maintenant et qu’elle ne peut pas attendre plus de trente minutes, soit le temps du trajet retour. Ni une, ni deux, elle met ses carottes à cuire dans l’eau en plein milieu du Carrefour. Cela n’a pas l’air de déranger grand monde alors elle ne s’en prive pas. Elle les laisse ses carottes pour aller chercher des assaisonnements dans les rayons.
À son retour à la casserole, l’eau est toute noire et les carottes pourries. L’intuition d’Héléna lui fait penser que c’est la faute d’un ouvrier qui est venu réparer les congélateurs du Carrefour. Elle part immédiatement s’en plaindre auprès du responsable du magasin. La police est contactée et l’ouvrier arrêté.
En effet, cet ouvrier mettait de mignonnes tortues venimeuses qui font pourrir les repas dans les casseroles. Il avait pour but de faire cela à tous les déjeuners des êtres vivants du monde car il déteste les tortues et les déjeuners. Heureusement, grâce à l’intervention d’Héléna, toutes les tortues et les déjeuners de l’univers sont sains et saufs. Quelle intuition hors du commun!

Still Here Still Life_33

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Enfance

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Saint Oeuf

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18 novembre 2020

je t’attends

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(toutes les cuisines où j’ai pleuré – raconté un secret)

Souriez.

Filed under: musardises — Étiquettes : — Zel @ 23:02

Souriez les enfants !

A trop souffrir la sourde oreille,

pousse un soupir et s’émerveille

face aux faiblesses du faux semblant.

Filed under: musardises — Étiquettes : — errant @ 21:34

CHAMPIONNE + UNO

Filed under: venelles — Étiquettes : — errant @ 20:02

Qui est la meilleure joueuse de Uno au monde? C’est évidemment Jade Séquoia, tous les analystes sont d’accord sur ce sujet. Alors oui, certains détracteurs lui préfèrent Cassandra Coupelle, mais toutes les statistiques avancées prouvent que Jade est bien la quintessence de cette discipline. Et puis Cassandra a un style de jeu très classique, bien que maîtrisé à la perfection, tandis que Jade a su, tout au long de sa carrière se réinventer en changeant le jeu. Aucune autre joueuse de Uno au monde n’a jamais produit un jeu si panaché, si gracieux, si créatif. Jamais personne n’a fait frissonner les spectateurs comme Jade le fait. Que ce soit son jeté de carte, son utilisation du changement de couleur, ses saltos lorsqu’elle pose un 6, sans parler de sa fameuse technique secrète dite « de la libellule ». On ne fait pas mieux que cette fille là, c’est sûr.

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