Lettre à France [extrait 2]
Samedi 5 novembre, il est 7h42 et je suis dans le train (je t’écris depuis mes notes de téléphone, tu t’en doutes), je suis dans le train et j’écoute Goodbye Marilou, Polnareff me fait pleurer et j’ai honte de te l’avouer mais encore une fois: tu t’en doutes. […] Polnareff crie dans mes oreilles « il était une fois toi et moi, n’oublie jamais ça » je le haie. Tu es ma plus grande rupture.