trop occupée à perdre du sang
j’ai un peu repoussé l’écriture, parce qu’il fallait décompresser de la semaine intense qui vient de passer, et parce que mon ventre me troue trop pour réfléchir à d’autres choses.
mais même quand j’écris pas je m’enthousiasme à l’idée de le faire : on a marché un peu avec claude, murphy (!) & adl, et on a parlé d’errances
même quand c’est un non sujet on en parle
c’est dans un coin de la tête, comme une branche de lunette qui loge juste derrière l’oreille : on s’habitue à sa présence et on se rappelle que c’est là seulement lorsqu’un mouvement imprévu plaque le plastique lisse contre un nouvel endroit de peau