Le volcan
En irruption il brûle tout sur son passage
Quand il ne détruit pas entièrement, il cherche quand même à faire mal, et abîme, fragilise, appauvrit, affaiblit
Lorsqu’il se réveille, lorsqu’il a décidé de se manifester, personne n’est plus puissant que lui
Que ses envies d’un monde à flot et à sang
Personne ne peut tenter d’arrêter son triste travail. C’est d’une violence folle. De celles qui se répandent lentement,
Temps cruel et délicieux passé à admirer la désintégration douloureuse de la vie. C’est une prise de pouvoir soudaine et sans réflexion sur quelque chose qui lui avait échappé
Inutile de se cacher, un jour il parviendra jusqu’à vous, en passant simplement par un chemin différent