Fauteuil marron
La gigantesque vague au bout crochus menacent Simone et toutes les autres. Mais leurs grasses feuilles ne s’agitent pas. Aucune peur. Aucun tracas. Elles s’en moquent. Même que l’une d’entre-elles lui caresse l’écume. Tandis qu’une autre me toisent du bout de ses deux étoiles de travers. Elle a compris mon jeu, je ne pense pas qu’elle apprécie. Alors mes yeux glissent le long de la table et se lèvent pour arriver devant cette liane molle qui tente, en vain, d’atteindre le haut. Un brin d’espoir de la taille de son corps pousse encore quelques centimètres à la verticale. Mais ses gigantesque larmes luisantes, boulet de beauté, lui fléchissent le dos. Ça lui donne un air de marcheur au fardeau trop lourd. Une courbure qu’elle emprunte à la gigantesque vague au bout crochus qui menacent Simone et toutes les autres. Mais leurs grasses feuilles ne s’agitent pas. Aucune peur. Aucun tracas. Elles s’en moquent. Même que l’une d’entre-elles lui caresse l’écume. Tandis qu’une autre me toisent du bout de ses deux étoiles de travers. Elle a compris mon jeu, je ne sais pas si elle apprécie. Alors mes yeux glissent le long de la table et se lèvent pour arriver devant cette liane molle qui tente, en vain, d’atteindre le haut. Un brin d’espoir de la taille de son corps pousse encore quelques centimètres à la verticale. Mais ses gigantesque larmes luisantes, boulet de beauté, lui fléchissent le dos. Ça lui donne un air de marcheur au fardeau trop lourd. Une courbure qu’elle emprunte à la gigantesque vague au bout crochus qui menacent Simone et toutes les autres. Mais leurs grasses feuilles ne s’agitent pas. Aucune peur. Aucun tracas. Elles s’en moquent. Même que l’une d’entre-elles lui caresse l’écume. Tandis qu’une autre me toisent du bout de ses deux étoiles de travers. Elle a compris mon jeu, je ne sais pas si elle apprécie. Alors mes yeux glissent le long de la table et se lèvent pour arriver devant cette liane molle qui tente, en vain, d’atteindre le haut. Un brin d’espoir de la taille de son corps pousse encore quelques centimètres à la verticale. Mais ses gigantesque larmes luisantes, boulet de beauté, lui fléchissent le dos. Ça lui donne un air de marcheur au fardeau trop lourd. Une courbure qu’elle emprunte à la gigantesque vague au bout crochus qui menacent Simone et toutes les autres. Mais leurs grasses feuilles ne s’agitent pas. Aucune peur. Aucun tracas. Elles s’en moquent. Même que l’une d’entre-elles lui caresse l’écume. Tandis qu’une autre me toisent du bout de ses deux étoiles de travers. Elle a compris mon jeu, je ne sais pas si elle apprécie. Alors mes yeux glissent le long de la table et se lèvent pour arriver devant cette liane molle qui tente, en vain, d’atteindre le haut. Un brin d’espoir de la taille de son corps pousse encore quelques centimètres à la verticale. Mais ses gigantesque larmes luisantes, boulet de beauté, lui fléchissent le dos. Ça lui donne un air de marcheur au fardeau trop lourd. Une courbure qu’elle emprunte à la gigantesque vague au bout crochus qui menacent Simone et toutes les autres. La gigantesque vague au bout crochus menacent Simone et toutes les autres. Mais leurs grasses feuilles ne s’agitent pas. Aucune peur. Aucun tracas. Elles s’en moquent. Même que l’une d’entre-elles lui caresse l’écume. Est-ce que quelqu’un à lu l’histoire cinq fois ? Tandis qu’une autre me toisent du bout de ses deux étoiles de travers. Elle a compris mon jeu, je ne sais pas si elle apprécie. Alors mes yeux glissent le long de la table et se lèvent pour arriver devant cette liane molle qui tente, en vain, d’atteindre le haut. Un brin d’espoir de la taille de son corps pousse encore quelques centimètres à la verticale. Mais ses gigantesque larmes luisantes, boulet de beauté, lui fléchissent le dos. Ça lui donne un air de marcheur au fardeau trop lourd. Une courbure qu’elle emprunte à la gigantesque vague au bout crochus qui menacent Simone et toutes les autres.