matin 3
réveil épuisé ce matin. J’ai passé la nuit à me battre, à péter des mâchoires et des genoux. Une tornade vociférante. Tout le monde y est passé, sans concession. Ça a peut-être commencé à bouillir quand j’ai remarqué hier que le tag pro palestine en face avait été recouvert d’une épaisse couche de peinture beige crous. J’ai froid, le chauffage s’est encore coupé, sous mes pieds sortis du lit j’évite les braises encore fumantes.