Extrait de note n°12
Gardons le cap bon dieu. Oh capitaine, mon capitaine !
Notre effroyable voyage est terminé Le vaisseau a franchi tous les caps, la récompense recherchée est gagnée Le port est proche, j’entends les cloches, la foule qui exulte, Pendant que les yeux suivent la quille franche, le vaisseau lugubre et audacieux. Mais ô cœur ! cœur ! cœur ! Ô les gouttes rouges qui saignent Sur le pont où gît mon Capitaine, Étendu, froid et sans vie |
Oh avoir 15 ans et rêver les yeux ouvert dans une chambre aux murs jaunes. La ville m’a volé les odeurs de forêt mouillée et ce n’est qu’en regardant au dessus des grands immeubles qui je peux me surprendre à (enfin) me soulager, je vois une étoile. Première respiration depuis quelques jours. Rendez moi la lune je deviens folle sans elle. À la poubelle l’étoile du berger je n’ai besoin que d’elle. Pour elle, je saurais être fidèle.
« Et sinon, quand est-ce que tu me proposes qu’on se revoit ? »*
*à envoyer
Obsession Ange TrueLove
Perchée haut à côté de la lune, le cœur si léger qu’il fait voler mon corps comme une bulle de savon. Sculptural la poésie des crayons aujourd’hui, matière marbre métal, majestueux comme les déités antiques, critique amour métallique, clique clique la langue sur le palais qui claque. Mais le soleil c’est ma lumière j’ai besoin d’aimer comme on respire. Trouver un réceptacle assez grand dans lequel couler fusionner changer son âme.
Cœur vaillant […]