Écume des jours
Les murs se rapprochent
Sans avoir la force de pousser, elle se perd au haut non loin
Ce que je touche je ne le veux pas.
L’odeur disparait, la fovea rétrécie,
Maintenant j’ai l’oeil d’un chat.
Les murs se rapprochent
Sans avoir la force de pousser, elle se perd au haut non loin
Ce que je touche je ne le veux pas.
L’odeur disparait, la fovea rétrécie,
Maintenant j’ai l’oeil d’un chat.
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