« »Ici apparaît un privilège de la rêverie poétique. Il semble
qu’en rêvant dans une telle solitude nous ne puissions toucher
qu’un monde si singulier qu’il est étranger à tout autre rêveur.
Mais l’isolement n’est pas si grand et les rêveries les plus profondes,
les plus particulières sont le plus souvent communicables.
…
Ils nous offrent leurs images psychotropes par lesquelles
nous animons un onirisme éveillé. » »
Gaston Bachelard.