Errances

13 mars 2008

Filed under: passages — errant @ 13:16

«  »Ici apparaît un privilège de la rêverie poétique. Il semble
qu’en rêvant dans une telle solitude nous ne puissions toucher
qu’un monde si singulier qu’il est étranger à tout autre rêveur.
Mais l’isolement n’est pas si grand et les rêveries les plus profondes,
les plus particulières sont le plus souvent communicables.

Ils nous offrent leurs images psychotropes par lesquelles
nous animons un onirisme éveillé. » »

Gaston Bachelard.

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