Georges
« J’ai beaucoup voyagé au fond de mon lit. J’emportais pour survivre des sucres que j’allais voler dans la cuisine et que je cachais sous mon traversin (ça grattait…). La peur – la terreur, même – était toujours présente, malgré la protection des couvertures et de l’oreiller. » Georges Perec, Espèces d’espaces.