Je crois que l’on ne se sent jamais autant soi-même que lorsqu’on est en train de bouffer.
Et toi, de quoi tu parles baltringue, tu sais pas qui c’est toi même. A force de’t’ronger les ongles, t’as perdu tes mains.
Je crois que l’on ne se sent jamais autant soi-même que lorsqu’on est en train de bouffer.
Et toi, de quoi tu parles baltringue, tu sais pas qui c’est toi même. A force de’t’ronger les ongles, t’as perdu tes mains.
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