« Nos actes se construisent autour d’un monde à notre image.
Avant qu’elle ne soit vendue comme une marchandise, cette
image fournit à chaque individu un refuge sur lequel celui-ci a la
possibilité de se replier. Cette situation ne peut engendrer que
l’apathie qui, selon G. Lipovetsky, ne doit être confondue ni
avec le nihilisme passif correspondant à la démobilisation de la
masse, ni avec le nihilisme actif et son autodestruction. L’auteur
résume cette situation quelque peut crûment, mais efficacement :
« Dieu est mort, les grandes finalités s’éteignent, mais tout le
monde s’en fout, voilà la joyeuse nouvelle, voilà la limite du
diagnostic de Nietzsche ». »
Alors tranquille, on s’fout à poil avec des cagoules en cuir.
Egnégnégnégnégnééé