Limoncello.
Ils ont klaxonné.
Je me suis retourné.
J’ai levé mon bras pour les salué en dissimulant fièrement la tristesse qui m’avait envahie.
J’aurai voulu courir pour les rattraper.
J’aurai preferer ne pas les laisser s’en aller.
Et puis ils sont partis.
Les vitres baissées et les bras levés en guise d’aurevoir.
Ils ont disparu.
Happés par le temps sous l’arche de la porte du Louvre.
Je suis rentré à pied.
Je n’ai même pas réussi à pleurer.
Je suis juste retourné au bureau.
Il faisait beau.
Sans doute trop chaud.