Je cite ce que Vinciane a cité de Vicki Hearne qui citait un de ces expérimentateurs
« […] la philosophe et dresseuse de chiens et de chevaux, Vicki Hearne, raconte que les expérimentateurs expérimentés conseillent aux jeunes scientifiques de ne pas travailler avec les chats. »
Vinciane Despret a réécrit la même phrase dans son autre livre Que diraient les animaux si on leur posait les bonnes questions ? de 2012
Dans Penser comme un rat, de novembre 2009, Vinciane avait continué par : « Il semblerait en effet que, dans certaines circonstances, si vous donnez à un chat un problème à résoudre ou une tâche à exécuter pour trouver de la nourriture, il va le faire assez rapidement, et le graphique qui donne la mesure de son intelligence dans les études comparatives connaîtra une courbe ascendante assez raide. Mais, elle cite [Vicki Hearne] ici un de ces expérimentateurs, « le problème est que, aussitôt qu’ils ont compris que le chercheur ou le technicien veut qu’ils poussent le levier, les chats arrêtent de le faire. Certains d’entre eux se laisseront mourir de faim plutôt que de continuer l’expérience. » »
Dans l’autre livre, paru 3 ans plus tard, le passage a été remplacé par un autre du même style à propos des perroquets.
C’est justement le passage que j’avais partagé sur Errances le 15 octobre 2016. L’article se nomme Inciviques parrots.