die freie welt/
ce soir là chez N, j’entre un nouveau monde fait de déchirures, de cris, de danse, d’un soi multiplié sur les autres, d’un soi profond qui dit « enfin », de liberté.
merci berlin,
merci l’été
merci la nuit
de m’y avoir conduite.
vers eux,
vers moi.