cétaitlaurore
au troisième lueurs du troisième jours, il retourna dans la forêt. c’était doux, suave, le peuplier avait disparut.
il n’y avait alors aucune détresse, aucune tristesse, il avait saisit la plénitude.
la pipe ne pipa mot, les maux n’étaient plus, seul le vent dans les feuilles portait en lui la paresse controversée de la brise unique.