Elle s’assoit franchement, prend un magazine au passage.
Bruit de page qui se tourne.
p.53
Elle était presque invisible,
l’angoisse du cocon
du passé
les souvenirs ornent les murs,
et partout, la présence d’un cauchemar
toujours conscient.
Elle décroche un sourire,
des rires font échos,
un instant,
les livres racontent une nouvelle histoire
malgré la lumière et les bruits de fond,
qui rendent toujours visible la page 52.
« Prend soin de toi ma douce »,
une émotion pudique vient encadrer les bords du tableau.