Elle, se rendait invisible.
Derrière son rideau de fer
et la fumée de ses pensées,
disparait son identité,
tout ce à quoi elle se raccrochait.
BAR
Elles sont absentes,
réfugiées, loin du chaos des voix trop abondantes
ils lui rappellent son cocon,
elle lui rappelle qu’elle en a besoin.
Dans leur invisible absence,
des visages masqués,
des angoisses qui font barrages,
et ce liquide qui répand sa chaleur dans les corps
et rendra visible l’inaccessible,
c’est tellement plus simple.
« Je me sens comme chez moi maintenant. »