L’année dernière quand tu m’as demandé d’arrêter de vivre. Ça m’a marqué. Une phrase quand même assez forte pour qu’elle devienne un leit motiv dans mes pensées. Maintenant ma vie est morte. J’espère que ça te satisfait.
Je galère trop pour faire recouvrir ton tatouage. J’ai envie de te parler ce soir. De t’entendre. De trouver des sous pour enlever cette marque de ma poitrine. De te parler mais que CE SOIT l’autre qui me dise « Je t’aime ». J’ai envie de te parler, mais aussi de parler aux autres. Ni toi, ni lui, ni personne ne le fera.
Oh ouais putain je suis mort! C’est ouf, peut-être que l’édition commence ici.