Un do diez, un do bémol, un dos bossu. Quand viendras tu visiter les coulisses lisses de mon piano?
Piano, vite, sfumato vaporeux comme ton souffle dans les bronches de l’harmonica.
Le chapeau de feutre aux bords élimé par les sessions du samedi soir au ténor. Biaiser ses regards le temps d’un vol assommé par le tambour de tes pupilles.
Bourrasque, t’es un con. Le cor est de feu dans le vent, j’ai faillis mourir de ne pas danser sur les genoux d’un piano. le do d’un piano confus d’ivresse.
Il hoquette, le pétillant du champagne gaze même le pupitre. Boire à ta mamelle me comble de doutes, c’est donc ça vivre? Qui aurai cru que l’on pouvait s’énamouracher d’une chèvre? Le copain accordéon au fusain a grise mine.
21 janvier 2019
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