J’ai entrepris une récolte des « laissés pour-compte ».
Passés de la matière, à la forme, à l’utilitaire, au décoratif, à l’encombrant.
Dans un processus de transformation je tente de les réintégrer dans un cycle qui avance.
Par la fonte, ils retournent à état de matière, se réinscrivent dans un commencement.
Puisque dans les fours des métallurgistes, au cours des réactions chimiques,
———————————————————————————————————- rien ne se crée, rien ne se perd.
Ce n’est pas une disparition ou désintégration, mais un retour à l’espace des possibles.