J’ai le blues de la bossa
De la fille d’Ipanema
Qui marchant comme une samba, passe sans regarder
Les bonhommes qui ont la bouche grande ouverte
Devant sa nonchalante tranquillité
Moi dans ma tête, trottent ses jambes, au rythme d’une rumba
Tam tam tam
Je me balance avec ses pas,
pourvue qu’elle marche encore un moment