(Je m’improvise traductrice d’Eduardo Stupia -The drawer volume 9 p96)
Le dessin est un alphabet complet et infini qui fait toujours sens même dans son extrême non sens.
Le dessin c’est comme une conversation plurielle graphique.
Le blanc du papier est comme un silence qui attend des voix, du bruit et de la fureur.
(Et je surkiffe de la vie)