Chemin
Paraphrase des temps courus
Des jambes se promènent en bas de chez moi
Là où il y avait des monceaux de boue jaunis par le soleil
Se trame en deux fois deux
Un quadrillage de plein fouet
Une terre nourricière
Paraphrase des temps courus
Des jambes se promènent en bas de chez moi
Là où il y avait des monceaux de boue jaunis par le soleil
Se trame en deux fois deux
Un quadrillage de plein fouet
Une terre nourricière
No comments yet.
RSS feed for comments on this post.
Powered by WordPress