Faveur du soir, fadeur de la nuit tiède écrasant les épaules de cet homme au loin. Il aura vécu plusieurs temps. Il aura perdu, un instant, cela. Cela qui ne se définit que par ces agitations qui lui font bouger les bras. Cela qui le fait se brosser les dents 4 fois par jour (un tic chopé à sa grand mère durant une semaine de vacances d’été passée tou.te.s les deux en Charente-Maritime.)
Il se perd, trébuche mais il évitera ce pavé saillant qui est actuellement hors de son champ de vision.
Il est vu. Nu. Quelque chose le dérange. Il pleure.