Salaud de métal
Les trains je les regarde passer en mastiquant,
quand ils engloutissent des alarmistes aux pas pressants.
J’l’ai pressenti qu’il partirait
en me laissant sur le quai
comme d’hab’ : seule en panique,
sur la pointe des rails dans un grand cri mécanique.
Déjà cané nouveau départ niqué avant d’être né.
(salaud de métal)