Idylle
(Je veux t’offrir des arancinis, te les faire goûter sur le bout de mes lèvres, et passer ma main dans tes cheveux, tes longs cheveux blond et soyeux qui retombent sur ta machoire carrée et le haut de tes trapèzes. Tu es comme moi, il y a trop de violence en toi et c’est ça qui me rassure. Je nous vois danser sous les néons pétés, complètement cons, complètement en fusion, dans les boîtes les plus minables et les plus sales de Cefalù.)