l’interville de l’esprit
Il n’y a pas de vachette mais beaucoup de spectateur. Les accessoires manque de la mousse cheap de toutes les arènes modernes.
Juste une cigarette qui n’arrête pas de s’éteindre. Un zippo vidé de son essence. Et mes yeux bovins qui se noient dans l’absurde.
L’air est électrique sans être éclairé, et les mots sont aux abonnés absent. À la place, une série d’onomatopée qui se cache au fond de la gorge arrosé à grand renfort de « no problemo »
Si Si problemo justement
Tous les repères ont disparues,
Il me dit de rester discrète
Moi je me dis de courir.