« La branloire pérenne »
Le monde est une branloire pérenne
l’immonde thune brandit sa loi pour le règne
sur mes pairs, inonde de peines duper,
j’nierais (tout).
À peine grandie, j’n’irais pas perdurer.
Démontes le rempart haineux, j’ai plus les rennes
face aux parents qui naissent pétris d’adieux
en plein trip empêtrée, j’reconnais plus l’père des Sirènes.
j’ai péri rampant pour une blonde pernicieuse.
Au parloir, demande un verre d’onde pour m’y baigner
Mise au banc des accusé.es, j’m’amende en baisers pieux.